La Chanson de Roland.

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Testo

La Chanson de Roland

-La mort de Roland
Aprés avoir en vain tenté de briser son épéè pour qu’elle ne tombe pas entre les mains de ses ennemis paiens, Roland se prépare à mourir en chrétien. Il prie. C’est dans cette description des derniers moments de Roland que l’association entre la foi et le courage du héros, une des caractéristiques de toute l’oeuvre, est la plus évidente.
CLXXIV
Roland sent que la mort le prend tout entier,
Qu’elle lui descend de la tété sur le cour.
Il est allé en courant sous un pin,
Il s’est couché sur l’herbe verte, face contre terre,
Il met sous lui son épée et son olifant,
Il tourne la tete du coté de la gent paienne ;
Il a fait cela parce qu’il veut véritablement
Que Charles et tous les siens disent
Qu’il est mort en vainqueur, le noble comte.
Il proclame ses fautes, se frappant la poitrine à petits coups répétés,
pour ses pechés il tend vers Dieu son gant.
CLXXV
Roland sent que son temps est fini.
Il est sur un sommet aigu, le visage tourné vers l’Espagne,
D’une main il se frappe la poitrine:
“Dieu , mea culpa à ta miséricorde,
Pour mes péchés les grands et les petits,
Que j’ai commis depuis l’heure de ma naissance
Jusqu’à ce jour où je suis ici frappé à mort!”
Il a tendu vers Dieu son gant droit .
Les anges du ciel descendent vers lui.

Traduzione_:
CLXXIV
Sente Rolando che la morte lo sopraffà,
giù dalla testa sul cuore gli discente.
Sotto un pino è andato di corsa,
sull’erba verde là s’è disteso prono,
sotto di sé mette la sua spada e l’olifante,
girò la testa verso la gente pagana:
per ciò l’ha fatto, perché egli vuole in verità
che Carlo dica e tutta la sua gente,
il nobile conte, ch’egli morì vincitore.
Ripete il mea culpa spesso e sovente,
per i suoi peccati a Dio offrì il guanto.
CLXXV
Sente Rolando che la sua vita è alla fine.
Volto alla Spagna, sta su un’erta cima.
Con l’una mano il suo petto ha battuto:
-Dio , mea culpa, dinanzi alla tua potenza,
dei miei peccati, dei grandi e dei piccoli,
cho ho commesso dall’ora in cui nacqui,
fino a questo giorno, che qui son colto!-
Il guanto destro ha teso verso Dio.
Angeli del cielo là discendono a lui.

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