Le romantisme

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LE RéALISME ET LE NATURALISME
•Le terme “réalisme” apparai^t pour la première fois dans la littérature française en 1825, quand Balzac écrit ses premiers romans.
•Le réalisme exprime une nuovelle orientation litttéraire, un appel au concret, à la problématique morale, sociale et politique de la bourgeoisie. C’est aussi une crise de conscience de tous les esprits libéraux après la faillite des révolutions européennes de 1848.
•Ce mouvement est influencé par le développement des études scientifiques, par la philosophie positiviste d’Auguste Comte (qui pense que l’esprit humain doit renoncer à connai^tre l’e^tre me^me des choses et se contenter des vérités tirées de l’observation et de l’expérience des phénomènes), et de la naissance du matérialisme historique de Marx.
•Balzac écrit l’historie des moeurs de son temps, avec réalité.
Stendhal est réaliste avec sa conception narrative. Ses personnages sont souvent poussés par des idéaux et des passions typiquement romantiques, mais les descriptions annoncent déjà le réalisme.
Flaubert est présent avec son impassibilité méthodologique, aussi comme Maupassant. Les références sociologiques, biologiques et scientifiques de Flaubert, le réalisme se transforme et donne naissance au naturalisme.
•Le naturalisme est, en réalité, un courant anti-romantique.
•émile Zola définisse que est une méthode à partir de la pensée et des sciences modernes.
•L’écrivain doit e^tre un écrivain-savant, capable d’examiner la réalité, d’appeler les choses par leur nom, d’aborder les pathologies et les anomalies des hommes.

LES DéCADENTS
•Vers la moitieé du XIX° siècle, la poésie onirique de Gérard de Nerval et, ensuite, la publication des “Fleurs du Mal” de Baudelaire entrai^nent des changements dans l’univers littéraire.
•Après 1883, de jeunes poètes qui s’inspirent d’eux fondent les “décadents”, et publient une revue appellée “Le Décadent”.
•Ils cherchent de nouvelles formes poétiques, refusent les aspirations de la bourgeoisie, l’ordre, la production, le profit.
•Il se sentent étrangers au monde qui les entoure.
•Il cherchent un univers de beauté raffinée, precieuse, l’artifice, hors de la réalité.

LE SYMBOLISME
•En 1886 nai^t le terme sumbolisme.
Il s’oppose au naturalisme et cherche un monde caché à travers des signes et des symboles qu’il faut comprendre. Il veut découvrir et faire découvrir, gra^ce aux signes que nous proposent nos sens, un monde plus vrais que le no^tre.
•Les poètes refusent la conception moraliste des classiques, les abus du romantisme, le perfectionnisme des parnassiens.
•Avec Jean Mauréas (qui écrit,dans “le figaro”, un article intitulé “Manifeste symboliste”), se groupent les poètes Gustave Kahn, Albert Samain, Jules Laforgue, Henri de Régnier, et ensuite des autres:
Verlaine, avec son pouvoir évocateur de la parole poétique;
Rimbaud avec l’activité visionnaire de la poésie et la fonction de “voyant” du poète, qui doit exprimer l’ineffable;
Baudelaire est représenté par ses “corrispondances”;
et Mallarmé, qui pense que la poésie possède un pouvoir incantatoire presque sacral.

LE RéALISME ET LE NATURALISME
•Le terme “réalisme” apparai^t pour la première fois dans la littérature française en 1825, quand Balzac écrit ses premiers romans.
•Le réalisme exprime une nuovelle orientation litttéraire, un appel au concret, à la problématique morale, sociale et politique de la bourgeoisie. C’est aussi une crise de conscience de tous les esprits libéraux après la faillite des révolutions européennes de 1848.
•Ce mouvement est influencé par le développement des études scientifiques, par la philosophie positiviste d’Auguste Comte (qui pense que l’esprit humain doit renoncer à connai^tre l’e^tre me^me des choses et se contenter des vérités tirées de l’observation et de l’expérience des phénomènes), et de la naissance du matérialisme historique de Marx.
•Balzac écrit l’historie des moeurs de son temps, avec réalité.
Stendhal est réaliste avec sa conception narrative. Ses personnages sont souvent poussés par des idéaux et des passions typiquement romantiques, mais les descriptions annoncent déjà le réalisme.
Flaubert est présent avec son impassibilité méthodologique, aussi comme Maupassant. Les références sociologiques, biologiques et scientifiques de Flaubert, le réalisme se transforme et donne naissance au naturalisme.
•Le naturalisme est, en réalité, un courant anti-romantique.
•émile Zola définisse que est une méthode à partir de la pensée et des sciences modernes.
•L’écrivain doit e^tre un écrivain-savant, capable d’examiner la réalité, d’appeler les choses par leur nom, d’aborder les pathologies et les anomalies des hommes.

LES DéCADENTS
•Vers la moitieé du XIX° siècle, la poésie onirique de Gérard de Nerval et, ensuite, la publication des “Fleurs du Mal” de Baudelaire entrai^nent des changements dans l’univers littéraire.
•Après 1883, de jeunes poètes qui s’inspirent d’eux fondent les “décadents”, et publient une revue appellée “Le Décadent”.
•Ils cherchent de nouvelles formes poétiques, refusent les aspirations de la bourgeoisie, l’ordre, la production, le profit.
•Il se sentent étrangers au monde qui les entoure.
•Il cherchent un univers de beauté raffinée, precieuse, l’artifice, hors de la réalité.

LE SYMBOLISME
•En 1886 nai^t le terme sumbolisme.
Il s’oppose au naturalisme et cherche un monde caché à travers des signes et des symboles qu’il faut comprendre. Il veut découvrir et faire découvrir, gra^ce aux signes que nous proposent nos sens, un monde plus vrais que le no^tre.
•Les poètes refusent la conception moraliste des classiques, les abus du romantisme, le perfectionnisme des parnassiens.
•Avec Jean Mauréas (qui écrit,dans “le figaro”, un article intitulé “Manifeste symboliste”), se groupent les poètes Gustave Kahn, Albert Samain, Jules Laforgue, Henri de Régnier, et ensuite des autres:
Verlaine, avec son pouvoir évocateur de la parole poétique;
Rimbaud avec l’activité visionnaire de la poésie et la fonction de “voyant” du poète, qui doit exprimer l’ineffable;
Baudelaire est représenté par ses “corrispondances”;
et Mallarmé, qui pense que la poésie possède un pouvoir incantatoire presque sacral.

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