La gloire de mon père di Marcel Pagnol

Materie:Scheda libro
Categoria:Francese

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Testo

LA GLOIRE DE MON PÈRE
( Marcel Pagnol )
Première partie
Chapitre I
La famille de Marcel Pagnol vivait à Aubagne, près de Marseille et, se dédiait à la fabrication des épées, travail qui faisait comprendre ses origines sûrement espagnoles. Avec l’ arrivé des fusils et de la poudre, les générations futures, apprirent la construction des fusils et des cartouches. Ce travail dura pour une certaine période, et plus précisément jusqu'au jour où un de ses aïeux risqua la vie et porta le signe de l’accident jusqu’à la mort. C’est pourquoi, les successives générations se dédièrent à la production du carton, et en suite, le grand père de Marcel devenais, on ne sait pas pourquoi tailleur de pierre. Cet homme, souffrit toute sa vie en silence pour ne pas avoir reçu une instruction complète et est pour ça que ses fils, aussi le père de Marcel, le plus jeune des cinq, reçoit une sévère instruction et finit par faire l’instituteur.
Chapitre II
A celle époque, la plupart des matières n’étaient pas enseignées comme il fallait, mais simplement selon les idées plus suivies en ce temp. Les ennemis qui l’instruction cherchait à battre, c’étaient l’église et l’alcool. Les instituteurs de l’époque, se déplaçaient pour porter leur instruction partout, à différence d’ un amis du père de Marcel, qui dans toute sa vie d’instituteur, se n’est jamais déplacé de l’endroit ou il était.
Deuxième partie
Chapitre III
Terminés ses études, le père de Marcel, Joseph, s’installa à Aubagne, où, après peux de temps, il s’épousa avec une jeune et jolie couturière de nom Augustine avec qui donna la vie à un petit enfant nommé Marcel Pagnol. L’histoire de sa naissance, est très semblable à l’histoire d’un autre petit enfant qui dans un autre ans, occupait la place occupée maintenant par Marcel, c’est à dire le 25ème fauteuil par l’Académie Française
Chapitre IV
Marcel reste à Aubagne seulement quatre ans et il porte avec lui seulement deux souvenirs du lieu ou est né. L’un c’est à propos de son oncle Henri, qui devant sa maison le lançait à l’air et le reprenait, sous les cris de sa mère. Son oncle est meccanicien comme aussi son grand père du coté de maman qui mourut à l’age de 24 ans à Rio de Janeiro pour la fièvre jaune. L’autre souvenir est lié à son père et à ses amis avec qui s’amusait à lancer le plus loin possible des gros morceaux de fer.
Chapitre V
Après les quatre ans passés à Aubagne, la famille de Marcel s’installa à Saint-Loup, près de l’école et de l’abattoir public où les bouchers travaillaient les portes ouvertes.
Marcel passait de temps à les regarder dans leur travail et admirait la force de l’homme sur les animaux, mais sa maman l’apportait loin de la et lui expliqua que ce n’était pas une belle chose de tuer le animaux. Quand maman allait au marché, Marcel resta en classe avec son père qui apprenait à lire à des enfants de six ans. Un jour, il écrivit au tableau noir une phrase:la maman à puni son petit garçon qui n’était pas sage et Marcel commença à dire que ce n’était pas vrai ce que avait écrit son père que étonné du fait qui son fils de quatre ans était capable de lire, se remplit de joie, chose que sa mère, pour peur que était dangereux pour le petit, lui empechait de mettre pied en classe jusqu’à six ans. Quand la maîtresse lui disait qui son fils avait une mémoire extraordinaire mais que sa maturité d’esprit était telle que celle d’un bébé.
Chapitre VI
Après quelques années passées à Saint-Loup, Joseph reçoit un important travail près l’école du Chemin de Chartreux ou il aurait pu devenir en quelque année directeur d’une école. En ce temps, Joseph avait changé soi dans le Physique, soi dans l’habillement. Il était devenu très élégant et les lunettes qui devant étaient en acier, maintenant étaient en or. En outre, maintenant, il s’occupait aussi de tracer des cartes géographiques.
Troisième partie
Chapitre VII
Dans la nouvelle école, Marcel ce ne fatigue pas trop, vu qu’il est capable de lire et chaque jeudi et dimanche, sa tante Rose, sœur de sa mère l’apportait au parc où il s’amusait en faisant des bétises aux oiseaux et en regardant les gens qui tombaient avec les vélos. Un jour, arrivé au parc, sur le banc ou il était habitué de s’asseoir, il y avait un homme, qui en voyant lui et sa tante, se déplace un petit peu pour leur laisser un peu d’espace. La tante Rose s’asseyait et commençait à faire du tricot, et Marcel alla vers le lac pour faire des plaisanteries au canards. A son retour, sa tante ne tricotait plus et parlait avec l’homme. Dès la, les visites au parc se furent de plus en plus fréquentes et, dans quelque mois, l’homme inconnu du banc, devenu l’oncle Jules.
Chapitre VIII
Le père de Marcel et son oncle, dont le nom n’est pas Jules mais Thomas, devinrent grands amis. Même la nouvelle que Jules ou Thomas qui soie, allait deux fois par mois à la messe n’arrivait à troubler l’amitié entre les deux. Dans quelque temps, Joseph, décida de changer de maison car celle la était devenue trop petite et la nouvelle maison fût beaucoup plus grande et riche et donna a chaque membre de la famille une raison pour être satisfaits de leur vie.
Chapitre IX
Apres quelques années, pendant l’absence des deux petits, arriva un petite sœur à grandir la famille et Marcel s’interrogea sur comment peut naître un enfant mais sans trouver une réponse sure. Apres quelque temps, aussi la tante Rose commença à grossir et à changer et une soir, Joseph communiqua à ses fils que maman serait restée or la nuit pour assister la sœur. Le matin suivant, c’était jeudi et le matin vite, papi, réveilla ses enfants en leur disant qu’il y avait une surprise chez tante Rose. C’est alors que la famille se mit en marche pour rejoindre tante rose et oncle Jules. Entrés dans la grande chambre à coucher , il voyaient leur mère avec un bébé à la main, une petite créature aux blonds cheveux et au visage joufflue, c’était leur cousin.
Quatrième partie
Chapitre X
Un soir, Joseph dit à Marcel que le lendemain il aura eu besoin de lui mais ne lui dit de plus. Le matin suivant, le garçon fut réveillé par son père vers huit heures du matin. Tout de suite s’habilla et fait semblant de se laver pour contenter sa maman. Terminé sa toilette déscend dans la cuisine ou son petit déjeuner l’attend et il vu son père qui compte des sou. Il appris alors que toute la famille avec l’oncle Jules et la tante Rose, ira passer les grandes vacances dans une villa loin de la ville mais que c’était encore à mettre les meubles et qui lui aurait du accompagner son père les acheter du brocanteur une fois terminé son repas.
Chapitre XI
Accompagné par son fils, Joseph, part vers le brocanteur avec une petite charrette à bras pour apporter les meubles. Arrivés chez son but, les deux commencent à charger le tout sur la charrette et le vendeur leur demande 50 francs. Trouvant le prix très cher, Joseph veut laisser tout et aller quelque autre part, mais l’homme lui offre d’autres choses au même prix. Avec la charrette pleine, les deux partent de nouveau vers leur maison.
Chapitre XII
Arrivés à la maison , Joseph, Marcel et Paul se mirent au travail pour donner aux meubles une forme normale et pour les rendre utilisables. Tout le travail ne dura que trois mois environ à la fin des quels la famille fut prête pour s’installer dans la nouvelle villa.
Cinquième partie
Chapitre XIII
Vers la moitié du mois de juillet, les meuble restèrent dans le couloir et un soir, pendant un dîner avec la tante Rose et l’oncle Jules, on décida de partir le lendemain avec un petit camion et une charrette. Le jour suivant, l’oncle et la tante étaient sur le camion et le reste de la famille allait avec le tramway ou à pied. Après un voyager long et intéressant, ils se retrouvèrent au village près de la villa.
Chapitre XIV
Dans quelques minutes, l’expédition traversa le village et continua le voyage, pendant le quel le paysan leur montrait les montagnes et ses noms et leur expliqua touts les types d’herbes qu’ils pourraient trouver dans la zone. Malgré un accident capité à Joseph, on arriva enfin dans un point ou on pouvait voir la villa et tout le monde était heureux. Les deux enfants, en premier lieu, commençaient à courir et à crier.
Chapitre XV
En s’approchant à l’édifice, ils voyaient le camion et l’oncle qui aidait l’ouvrier à décharger les meubles pendant que la tante rose était entrain de donner le biberon au petit. L’ouvrier avait bu beaucoup de vin et commença à hurler contre les autres mais, une fois déchargés tous les meubles, il fut chassé par François.
Sixième partie
Chapitre XVI
Dans quelques temps, toute la famille fut installée et la vie dans celle villa était merveilleuse. Papa allait souvent au pays pou prendre des choses et l’oncle Jules allait à la ville trois jours par semaine. Les deux frères jouaient beaucoup le long des montagnes et au milieu du bois mais ils faisaient aussi des « études » avec les insectes et les animaux
Chapitre XVII
Très vite, les deux enfants, comprirent que la chose la plus amusante, c’était de jouer à la guerre. Les deux se firent construire par leur maman une tente pour jouer aux indiens. Ce jeu dura beaucoup et toujours s’évoluait dans des nouvelles variations.
Chapitre XVIII
Le soir pendant le dîner, papa et l’oncle Jules parlaient beaucoup et faisaient des discours compliqués que le petit Marcel écouta avec attention, non pour le sens du discours mais pur les noms qu’il contenait et dont ne connaissais pas le sens. Tous ces mots, Marcel les écrivais sur un carnet et quand il était tout seul il les lisait.
Chapitre XIX
Un jour la pluie empêchait de sortir et tout le monde était dans la maison. Tout à coup le discours tombe sur la religion et papa et l’oncle Jules commencèrent un discours violent. Tout de suite arriva la tante Rose qui demanda à son mari d’aller chercher des escargots en interrompant la discussion. L’oncle jules rentra après environ une heure avec une discrète quantité d’escargots. Pendant le dîner, le discours tomba de nouveau sur l’argument de la discussion mis cette fois sous un aspect ironique.
Septième partie
Chapitre XX
Quelques jours après, pendant que Marcel préparait le jeu de la journée, arriva Paul en courant et en lui disant que l’oncle Jules était entrain de cuisiner. Les deux allaient voir et pendant tout l’après midi, ils jouèrent aux indiens. Le soir il y avait une grande table pleine de toutes bonnes nourritures et avec des choses drôles aussi. C’est alors que papi en rigolant disait aux petits que le jour suivant ils seront allés à la chasse avec lui et l’oncle.
Chapitre XXI
Pendant le repas, on parlait dd chasse et l’oncle qui était un véritable expert, expliqua au reste de la famille attentive les trucs pour chasser des animaux et pour les connaître. Il raconta aussi une horrible histoire sur un amis qu’il a été tué par le sangliers.
Chapitre XXII
Après le repas, Paul alla se coucher et Marcel demanda a sa maman de rester pour regarder la préparation des cartouches pour le lendemain. Soi l’oncle soi le père sortaient leurs fusils et préparaient les cartouches pour le jour suivant et tout le monde alla se coucher. Le matin suivant, Marcel dit à maman qu’il n’est pas content du fait que l’oncle soie capable de montrer quelque chose à son père et en mangeant son petit déjeuné il pleura un peu.
Huitième partie
Chapitre XXIII
Le jour suivant, les deux hommes prouvaient les fusils et la preuve continua pendant la matinée et part de l’après midi. L’oncle Jules avait fixé des journaux à la porte du cabinet et il tirait plusieurs fois, terminé de tirer, on entendit un voix faible de l’intérieur du cabinet : « est ce que je peux sortir ? »
Chapitre XXIV
Dans quelques jours, l’oncle Jules avait terminé toutes ses histoires et décida de commencer à expliquer la part pratique. C’est pourquoi enseigna a papa le coup du roi qui a son avis il ne lui aurait pas réussi au premier tir. Pendant les jours qui manquaient à l’ouverture de la chasse, papi se dédia complètement à apprendre les techniques de chasse plus efficaces pour son compte avec l’aide précieux de Marcel.
Chapitre XXV
La préparation pour l’ouverture de la chasse était en développement et Marcel, une fois fait éloigner son petit frère demanda a papa et à son oncle de pouvoir aller à la chasse avec eux. Malgré l’indécision initiale, la réponse finale fut positive et Marcel ne voyait pas l’heure de partir. Le soir, convaincu que le lendemain ils seront partis pour la chasse, fut déçu en apprenant que la journée tant attendue n’était pas demain mais dans deux jours. Tristement il alla coucher et maman venait lui donner le baise du soir
Neuvième partie
Chapitre XXVI
Une fois sortie la maman, Paul qui ne dormait pas, dit à son frère que l’oncle et papa seront partis sans lui la nuit même et l’auront laissé à la maison. Surpris et fâché de cette nouvelle, alla dans la cuisine ou dans un placard trouva tout le nécessaire pour la fuite des deux traîtres. Triste il retourna dans sa chambre ou il prépara ses vêtements et attendis d’entendre des bruits. Il songea et fut réveillé par son frère qui avait entendu les deux méchants, il s’habillait et après avoir écrit un billet à maman, il suivi des loin les deux chasseurs.
Chapitre XXVII
Le garçon arriva près des chasseurs après peu de temps et les suivit sans se faire voir pour toute la journée en constatant malheureusement que le seul à attraper quelque chose c’était son oncle et son père avait pris seulement un oiseau. Il trouva aussi un ensemble d’oiseaux qu’il manda dans la direction des deux chasseurs. A un certain point de la journée, il perd les traces des deux et ne sait pas comment faire pour les rattraper, mais heureusement il décida de suivre leur traces.
Chapitre XXVIII
Obligé de chercher un autre passage pour rejoindre ses parents, il finit pour se perdre au milieu du bois. Il décida alors de retourner ver sa maison ou vers le village mais, arrivé près d’un carrefour, il ne sait plus ou aller et il se construit un abri en bois, d’ou il vu un possible passage pour voir le village ou la maison. Après avoir mangé un peu, il part pour contrôler les alentours.
Chapitre XXIX
Après quelque minutes, il monte vers un plateau un peu plus haut d’ou se trouvait lui, et en levant les yeux au ciel, ce fut la panique. Il y avait un grand rapace qui tournait autour de lui. Il courut alors vers un abri dans les rochers mais à quelque pas de la, l’oiseau était peu loin de lui et continuait à descendre. Il se lança alors au sol et s’aperçu que le rapace avais déjà attrape un oiseaux. Il se leva et, après une chute, arriva au sommet du plateau d’ou il voyait seulement des collines et des montagnes. La situation était grave.
Dixième partie
Chapitre XXX
Au sommet de ce plateau, il y avait un abri de bergers ou le garçon pensa a se réfugier. Après avoir pleuré il retrouve courage et décide de courir vers le fond de la montagne. Tout à coup une détonation suivie tout de suite par une deuxième, le fait arréter et deux perdrix royales lui tombèrent sur la tète. Tout de suite distingua la voix de son oncle qui reprochait son père pour avoir tiré et ne rien avoir pris. Alors le petit avec les deux oiseaux à la main, se fit voir et hurla de toutes ses forces qui son père avait tué les perdrix, tout les deux.
Chapitre XXXI
Après avoir compris ce qui c’était passé, les trois poursuivirent vers la maison, ou les femmes les attendaient, avec beaucoup d’animaux. Arrivés dans la maison ils racontèrent aux autres la journée qu’ils avaient passé et Marcel, soigné par maman, s’endormit après quelques minutes entre les bras de sa mère.
Chapitre XXXII
Le matin suivant, de bonne heure, Marcel accompagna son père au village pour des commissions et ils apportèrent avec eux les deux perdrix royales qui faisaient voir à plusieurs personnes pour avoir des opinions. Pendant ce tour dans le pays, ils parlèrent avec le curé et il pesèrent les deux oiseaux. Au retour, le curé décida de leur faire une photo en souvenir de celle capture exceptionnelle et les deux, pour politesse acceptèrent.
Chapitre XXXIII
Les deux retournèrent à la maison et le jour suivant, toute la famille mangeait les bons animaux et la dimanche au retour de la messe, l’oncle Jules apportait un enveloppe jaune de part du curé qui contenait trois copies de la photo prise par le curé quelque jour avant. Une copie alla à l’oncle jules, l’autre au père de Joseph et la troisième resta a lui.

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LA GLOIRE DE MON PÈRE
( Marcel Pagnol )
Première partie
Chapitre I
La famille de Marcel Pagnol vivait à Aubagne, près de Marseille et, se dédiait à la fabrication des épées, travail qui faisait comprendre ses origines sûrement espagnoles. Avec l’ arrivé des fusils et de la poudre, les générations futures, apprirent la construction des fusils et des cartouches. Ce travail dura pour une certaine période, et plus précisément jusqu'au jour où un de ses aïeux risqua la vie et porta le signe de l’accident jusqu’à la mort. C’est pourquoi, les successives générations se dédièrent à la production du carton, et en suite, le grand père de Marcel devenais, on ne sait pas pourquoi tailleur de pierre. Cet homme, souffrit toute sa vie en silence pour ne pas avoir reçu une instruction complète et est pour ça que ses fils, aussi le père de Marcel, le plus jeune des cinq, reçoit une sévère instruction et finit par faire l’instituteur.
Chapitre II
A celle époque, la plupart des matières n’étaient pas enseignées comme il fallait, mais simplement selon les idées plus suivies en ce temp. Les ennemis qui l’instruction cherchait à battre, c’étaient l’église et l’alcool. Les instituteurs de l’époque, se déplaçaient pour porter leur instruction partout, à différence d’ un amis du père de Marcel, qui dans toute sa vie d’instituteur, se n’est jamais déplacé de l’endroit ou il était.
Deuxième partie
Chapitre III
Terminés ses études, le père de Marcel, Joseph, s’installa à Aubagne, où, après peux de temps, il s’épousa avec une jeune et jolie couturière de nom Augustine avec qui donna la vie à un petit enfant nommé Marcel Pagnol. L’histoire de sa naissance, est très semblable à l’histoire d’un autre petit enfant qui dans un autre ans, occupait la place occupée maintenant par Marcel, c’est à dire le 25ème fauteuil par l’Académie Française
Chapitre IV
Marcel reste à Aubagne seulement quatre ans et il porte avec lui seulement deux souvenirs du lieu ou est né. L’un c’est à propos de son oncle Henri, qui devant sa maison le lançait à l’air et le reprenait, sous les cris de sa mère. Son oncle est meccanicien comme aussi son grand père du coté de maman qui mourut à l’age de 24 ans à Rio de Janeiro pour la fièvre jaune. L’autre souvenir est lié à son père et à ses amis avec qui s’amusait à lancer le plus loin possible des gros morceaux de fer.
Chapitre V
Après les quatre ans passés à Aubagne, la famille de Marcel s’installa à Saint-Loup, près de l’école et de l’abattoir public où les bouchers travaillaient les portes ouvertes.
Marcel passait de temps à les regarder dans leur travail et admirait la force de l’homme sur les animaux, mais sa maman l’apportait loin de la et lui expliqua que ce n’était pas une belle chose de tuer le animaux. Quand maman allait au marché, Marcel resta en classe avec son père qui apprenait à lire à des enfants de six ans. Un jour, il écrivit au tableau noir une phrase:la maman à puni son petit garçon qui n’était pas sage et Marcel commença à dire que ce n’était pas vrai ce que avait écrit son père que étonné du fait qui son fils de quatre ans était capable de lire, se remplit de joie, chose que sa mère, pour peur que était dangereux pour le petit, lui empechait de mettre pied en classe jusqu’à six ans. Quand la maîtresse lui disait qui son fils avait une mémoire extraordinaire mais que sa maturité d’esprit était telle que celle d’un bébé.
Chapitre VI
Après quelques années passées à Saint-Loup, Joseph reçoit un important travail près l’école du Chemin de Chartreux ou il aurait pu devenir en quelque année directeur d’une école. En ce temps, Joseph avait changé soi dans le Physique, soi dans l’habillement. Il était devenu très élégant et les lunettes qui devant étaient en acier, maintenant étaient en or. En outre, maintenant, il s’occupait aussi de tracer des cartes géographiques.
Troisième partie
Chapitre VII
Dans la nouvelle école, Marcel ce ne fatigue pas trop, vu qu’il est capable de lire et chaque jeudi et dimanche, sa tante Rose, sœur de sa mère l’apportait au parc où il s’amusait en faisant des bétises aux oiseaux et en regardant les gens qui tombaient avec les vélos. Un jour, arrivé au parc, sur le banc ou il était habitué de s’asseoir, il y avait un homme, qui en voyant lui et sa tante, se déplace un petit peu pour leur laisser un peu d’espace. La tante Rose s’asseyait et commençait à faire du tricot, et Marcel alla vers le lac pour faire des plaisanteries au canards. A son retour, sa tante ne tricotait plus et parlait avec l’homme. Dès la, les visites au parc se furent de plus en plus fréquentes et, dans quelque mois, l’homme inconnu du banc, devenu l’oncle Jules.
Chapitre VIII
Le père de Marcel et son oncle, dont le nom n’est pas Jules mais Thomas, devinrent grands amis. Même la nouvelle que Jules ou Thomas qui soie, allait deux fois par mois à la messe n’arrivait à troubler l’amitié entre les deux. Dans quelque temps, Joseph, décida de changer de maison car celle la était devenue trop petite et la nouvelle maison fût beaucoup plus grande et riche et donna a chaque membre de la famille une raison pour être satisfaits de leur vie.
Chapitre IX
Apres quelques années, pendant l’absence des deux petits, arriva un petite sœur à grandir la famille et Marcel s’interrogea sur comment peut naître un enfant mais sans trouver une réponse sure. Apres quelque temps, aussi la tante Rose commença à grossir et à changer et une soir, Joseph communiqua à ses fils que maman serait restée or la nuit pour assister la sœur. Le matin suivant, c’était jeudi et le matin vite, papi, réveilla ses enfants en leur disant qu’il y avait une surprise chez tante Rose. C’est alors que la famille se mit en marche pour rejoindre tante rose et oncle Jules. Entrés dans la grande chambre à coucher , il voyaient leur mère avec un bébé à la main, une petite créature aux blonds cheveux et au visage joufflue, c’était leur cousin.
Quatrième partie
Chapitre X
Un soir, Joseph dit à Marcel que le lendemain il aura eu besoin de lui mais ne lui dit de plus. Le matin suivant, le garçon fut réveillé par son père vers huit heures du matin. Tout de suite s’habilla et fait semblant de se laver pour contenter sa maman. Terminé sa toilette déscend dans la cuisine ou son petit déjeuner l’attend et il vu son père qui compte des sou. Il appris alors que toute la famille avec l’oncle Jules et la tante Rose, ira passer les grandes vacances dans une villa loin de la ville mais que c’était encore à mettre les meubles et qui lui aurait du accompagner son père les acheter du brocanteur une fois terminé son repas.
Chapitre XI
Accompagné par son fils, Joseph, part vers le brocanteur avec une petite charrette à bras pour apporter les meubles. Arrivés chez son but, les deux commencent à charger le tout sur la charrette et le vendeur leur demande 50 francs. Trouvant le prix très cher, Joseph veut laisser tout et aller quelque autre part, mais l’homme lui offre d’autres choses au même prix. Avec la charrette pleine, les deux partent de nouveau vers leur maison.
Chapitre XII
Arrivés à la maison , Joseph, Marcel et Paul se mirent au travail pour donner aux meubles une forme normale et pour les rendre utilisables. Tout le travail ne dura que trois mois environ à la fin des quels la famille fut prête pour s’installer dans la nouvelle villa.
Cinquième partie
Chapitre XIII
Vers la moitié du mois de juillet, les meuble restèrent dans le couloir et un soir, pendant un dîner avec la tante Rose et l’oncle Jules, on décida de partir le lendemain avec un petit camion et une charrette. Le jour suivant, l’oncle et la tante étaient sur le camion et le reste de la famille allait avec le tramway ou à pied. Après un voyager long et intéressant, ils se retrouvèrent au village près de la villa.
Chapitre XIV
Dans quelques minutes, l’expédition traversa le village et continua le voyage, pendant le quel le paysan leur montrait les montagnes et ses noms et leur expliqua touts les types d’herbes qu’ils pourraient trouver dans la zone. Malgré un accident capité à Joseph, on arriva enfin dans un point ou on pouvait voir la villa et tout le monde était heureux. Les deux enfants, en premier lieu, commençaient à courir et à crier.
Chapitre XV
En s’approchant à l’édifice, ils voyaient le camion et l’oncle qui aidait l’ouvrier à décharger les meubles pendant que la tante rose était entrain de donner le biberon au petit. L’ouvrier avait bu beaucoup de vin et commença à hurler contre les autres mais, une fois déchargés tous les meubles, il fut chassé par François.
Sixième partie
Chapitre XVI
Dans quelques temps, toute la famille fut installée et la vie dans celle villa était merveilleuse. Papa allait souvent au pays pou prendre des choses et l’oncle Jules allait à la ville trois jours par semaine. Les deux frères jouaient beaucoup le long des montagnes et au milieu du bois mais ils faisaient aussi des « études » avec les insectes et les animaux
Chapitre XVII
Très vite, les deux enfants, comprirent que la chose la plus amusante, c’était de jouer à la guerre. Les deux se firent construire par leur maman une tente pour jouer aux indiens. Ce jeu dura beaucoup et toujours s’évoluait dans des nouvelles variations.
Chapitre XVIII
Le soir pendant le dîner, papa et l’oncle Jules parlaient beaucoup et faisaient des discours compliqués que le petit Marcel écouta avec attention, non pour le sens du discours mais pur les noms qu’il contenait et dont ne connaissais pas le sens. Tous ces mots, Marcel les écrivais sur un carnet et quand il était tout seul il les lisait.
Chapitre XIX
Un jour la pluie empêchait de sortir et tout le monde était dans la maison. Tout à coup le discours tombe sur la religion et papa et l’oncle Jules commencèrent un discours violent. Tout de suite arriva la tante Rose qui demanda à son mari d’aller chercher des escargots en interrompant la discussion. L’oncle jules rentra après environ une heure avec une discrète quantité d’escargots. Pendant le dîner, le discours tomba de nouveau sur l’argument de la discussion mis cette fois sous un aspect ironique.
Septième partie
Chapitre XX
Quelques jours après, pendant que Marcel préparait le jeu de la journée, arriva Paul en courant et en lui disant que l’oncle Jules était entrain de cuisiner. Les deux allaient voir et pendant tout l’après midi, ils jouèrent aux indiens. Le soir il y avait une grande table pleine de toutes bonnes nourritures et avec des choses drôles aussi. C’est alors que papi en rigolant disait aux petits que le jour suivant ils seront allés à la chasse avec lui et l’oncle.
Chapitre XXI
Pendant le repas, on parlait dd chasse et l’oncle qui était un véritable expert, expliqua au reste de la famille attentive les trucs pour chasser des animaux et pour les connaître. Il raconta aussi une horrible histoire sur un amis qu’il a été tué par le sangliers.
Chapitre XXII
Après le repas, Paul alla se coucher et Marcel demanda a sa maman de rester pour regarder la préparation des cartouches pour le lendemain. Soi l’oncle soi le père sortaient leurs fusils et préparaient les cartouches pour le jour suivant et tout le monde alla se coucher. Le matin suivant, Marcel dit à maman qu’il n’est pas content du fait que l’oncle soie capable de montrer quelque chose à son père et en mangeant son petit déjeuné il pleura un peu.
Huitième partie
Chapitre XXIII
Le jour suivant, les deux hommes prouvaient les fusils et la preuve continua pendant la matinée et part de l’après midi. L’oncle Jules avait fixé des journaux à la porte du cabinet et il tirait plusieurs fois, terminé de tirer, on entendit un voix faible de l’intérieur du cabinet : « est ce que je peux sortir ? »
Chapitre XXIV
Dans quelques jours, l’oncle Jules avait terminé toutes ses histoires et décida de commencer à expliquer la part pratique. C’est pourquoi enseigna a papa le coup du roi qui a son avis il ne lui aurait pas réussi au premier tir. Pendant les jours qui manquaient à l’ouverture de la chasse, papi se dédia complètement à apprendre les techniques de chasse plus efficaces pour son compte avec l’aide précieux de Marcel.
Chapitre XXV
La préparation pour l’ouverture de la chasse était en développement et Marcel, une fois fait éloigner son petit frère demanda a papa et à son oncle de pouvoir aller à la chasse avec eux. Malgré l’indécision initiale, la réponse finale fut positive et Marcel ne voyait pas l’heure de partir. Le soir, convaincu que le lendemain ils seront partis pour la chasse, fut déçu en apprenant que la journée tant attendue n’était pas demain mais dans deux jours. Tristement il alla coucher et maman venait lui donner le baise du soir
Neuvième partie
Chapitre XXVI
Une fois sortie la maman, Paul qui ne dormait pas, dit à son frère que l’oncle et papa seront partis sans lui la nuit même et l’auront laissé à la maison. Surpris et fâché de cette nouvelle, alla dans la cuisine ou dans un placard trouva tout le nécessaire pour la fuite des deux traîtres. Triste il retourna dans sa chambre ou il prépara ses vêtements et attendis d’entendre des bruits. Il songea et fut réveillé par son frère qui avait entendu les deux méchants, il s’habillait et après avoir écrit un billet à maman, il suivi des loin les deux chasseurs.
Chapitre XXVII
Le garçon arriva près des chasseurs après peu de temps et les suivit sans se faire voir pour toute la journée en constatant malheureusement que le seul à attraper quelque chose c’était son oncle et son père avait pris seulement un oiseau. Il trouva aussi un ensemble d’oiseaux qu’il manda dans la direction des deux chasseurs. A un certain point de la journée, il perd les traces des deux et ne sait pas comment faire pour les rattraper, mais heureusement il décida de suivre leur traces.
Chapitre XXVIII
Obligé de chercher un autre passage pour rejoindre ses parents, il finit pour se perdre au milieu du bois. Il décida alors de retourner ver sa maison ou vers le village mais, arrivé près d’un carrefour, il ne sait plus ou aller et il se construit un abri en bois, d’ou il vu un possible passage pour voir le village ou la maison. Après avoir mangé un peu, il part pour contrôler les alentours.
Chapitre XXIX
Après quelque minutes, il monte vers un plateau un peu plus haut d’ou se trouvait lui, et en levant les yeux au ciel, ce fut la panique. Il y avait un grand rapace qui tournait autour de lui. Il courut alors vers un abri dans les rochers mais à quelque pas de la, l’oiseau était peu loin de lui et continuait à descendre. Il se lança alors au sol et s’aperçu que le rapace avais déjà attrape un oiseaux. Il se leva et, après une chute, arriva au sommet du plateau d’ou il voyait seulement des collines et des montagnes. La situation était grave.
Dixième partie
Chapitre XXX
Au sommet de ce plateau, il y avait un abri de bergers ou le garçon pensa a se réfugier. Après avoir pleuré il retrouve courage et décide de courir vers le fond de la montagne. Tout à coup une détonation suivie tout de suite par une deuxième, le fait arréter et deux perdrix royales lui tombèrent sur la tète. Tout de suite distingua la voix de son oncle qui reprochait son père pour avoir tiré et ne rien avoir pris. Alors le petit avec les deux oiseaux à la main, se fit voir et hurla de toutes ses forces qui son père avait tué les perdrix, tout les deux.
Chapitre XXXI
Après avoir compris ce qui c’était passé, les trois poursuivirent vers la maison, ou les femmes les attendaient, avec beaucoup d’animaux. Arrivés dans la maison ils racontèrent aux autres la journée qu’ils avaient passé et Marcel, soigné par maman, s’endormit après quelques minutes entre les bras de sa mère.
Chapitre XXXII
Le matin suivant, de bonne heure, Marcel accompagna son père au village pour des commissions et ils apportèrent avec eux les deux perdrix royales qui faisaient voir à plusieurs personnes pour avoir des opinions. Pendant ce tour dans le pays, ils parlèrent avec le curé et il pesèrent les deux oiseaux. Au retour, le curé décida de leur faire une photo en souvenir de celle capture exceptionnelle et les deux, pour politesse acceptèrent.
Chapitre XXXIII
Les deux retournèrent à la maison et le jour suivant, toute la famille mangeait les bons animaux et la dimanche au retour de la messe, l’oncle Jules apportait un enveloppe jaune de part du curé qui contenait trois copies de la photo prise par le curé quelque jour avant. Une copie alla à l’oncle jules, l’autre au père de Joseph et la troisième resta a lui.

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Esempio



  


  1. hajar salimi

    moi j'ecrie des bon recie et des poeme ainsi dramatique et islamique et je veux quelle soix publier