Albert Camus

Materie:Appunti
Categoria:Francese

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ALBERT CAMUS

Dans “L’étranger” l’action se passe en Algérie, le protagoniste est Meursault, il est employé, il a une vie très monotone, il a une femme, une copine qui s’appelle Marie mais elle n’est pas sa fiancées. La dimanche il va à la plage, où il rencontre un amis mais l’amitié n’est pas important pour lui (Remond est son ami). Le livre commence avec la mort de sa mère, il y a l’enterrement de sa mère. A la plage, un jour, il a une dispute entre un des ses amis et un Arabe pour une femme. Meursault, dans la première partie, a chaud et il retourne sur la plage, il voit l’arabe mais Meursault a mal à la tête, il fait chaud. L’arabe voit Meursault venir vers lui e pense qu’il veut se disputer avec lui. Le chaleur pour M était insupportable et tire sur l’arabe, qui meurt. La première partie du livre finit dans une manière tragique. Mais tout c’est passé par hasard. Il pense que l’arabe veut le frapper avec son couteau. Meursault, dans la deuxième partie, est dans sa cellule et il se refuse de voir le prête, après il y a le procès et pendant le procès on oublié ce qu’il a fait mais on insiste sur le fait qu’il était étranger. Il est étranger au règles de la société. Il est étrange ai règles de la société, on insiste sur le fait que sa mère était enterrée, on dit qu’il a fume devant son cadavre et que, après, il était aller voir un film comique. Il y a un contraste entre l’incommunicabilité de l’homme et les autres, l’homme n’arrive pas à parler avec les autres, il y a un monde qui est absurde. Apparemment on dit qu0il est insensible, indifférente à tout. Marie lui demande de se manier avec elle mais lui répond : « ça m’était égal ! » c’est la même chose. Mais dans sa cellule il pense à sa mère quand’ elle était à l’asile, il pense aussi à Marie. Il y a le contraste entre l’homme et la société, aussi un procès on ne l’écoute même pas, il ne cherche pas à sa justifier, il dit seulement qu’il y avait une chaleur insupportable. La nature a un rôle très fort et négatif, le mal de vivre est le même qu’on a vu dans Baudelaire. Meursault est victime de l’hasard, par hasard il avait une révolter, par hasard il rencontre l’arabe et il y avait le soleil. Il n’arrive pas à réfléchir, il voudrait avancer mais il y a l’arabe, pour se débarrasser du soleil il tire sur l’arabe. Meursault se dispute aussi avec le prête. La nature a surtout un sens négatif mais il y a aussi une nature positive, comme lorsque le dimanche il allait se baigner à la mer avec Marie. Pour le jour de son exécution il souhaite qu’il ait beaucoup de monde pour assister à ses funéraire.
« Quatre coups brefs à la porte de malheur » : Meursault a une hallucination et il était surpris de voir l’arabe. L’arabe a un couteau, qui, à cause du soleil, devient une longue lame, puis un glaive et une épée. Dans la première partie on a un style fragmenter, de phrases brefs, tandis que la deuxième partie est tout à fait différente. Pendant le procès les amis de Meursault veulent défendre Meursault, mais le juge leur fait dire qu’il est allé voir un fil comique. Marie voudrait dire quelque chose en plus, mais elle ne peut pas, c’est le problème de l’incommunicabilité, elle doit dire la vérité mais elle voudrait ajouter quelque chose, on ne parle pas des sentiments pendant le procès. Il y a toujours le problème du langage et de la communication, l’homme n’arrive pas à s’exprimer. C’est surtout pendant le procès qu’on comprend le sens du titre. Le soleil représente le mal de vivre, donc c’est comme le « spleen » de Baudelaire.

« le malentendu « , c’est une pièce de théâtre qui parle du rapport entre le monde et l’homme, la solitude, l’absurde. On retrouve cette difficulté à communiquer on la retrouve dans cette pièces, où un homme est tué parce qu’il ne prononce pas un mot. Deux femmes ont un auberge et il voudrait quitte leur ville et voyager. Ils tuent tous leur clients qui sont seuls. Un jour un homme arrive à l’auberge, il ne se présente pas, il est le fils mais la mère et la sœurs ne le reconnaissent pas. Il est marié et il a des fils, sa femme lui conseille de se présenter mais elle est dans un hôtel et elle attend. Les femmes le tuent et après la jeune découvre que son marie a été tué. La fille s’appelle Marta et après elle va dans sa chambre parce qu’elle veut rester toute seule, tandis que la mère se jète dans un fleuve où elle jetait les corps de ses clients. Le thème de cette pièces est le même de la pièces de Sartre « huis clos ».

ALBERT CAMUS

Dans “L’étranger” l’action se passe en Algérie, le protagoniste est Meursault, il est employé, il a une vie très monotone, il a une femme, une copine qui s’appelle Marie mais elle n’est pas sa fiancées. La dimanche il va à la plage, où il rencontre un amis mais l’amitié n’est pas important pour lui (Remond est son ami). Le livre commence avec la mort de sa mère, il y a l’enterrement de sa mère. A la plage, un jour, il a une dispute entre un des ses amis et un Arabe pour une femme. Meursault, dans la première partie, a chaud et il retourne sur la plage, il voit l’arabe mais Meursault a mal à la tête, il fait chaud. L’arabe voit Meursault venir vers lui e pense qu’il veut se disputer avec lui. Le chaleur pour M était insupportable et tire sur l’arabe, qui meurt. La première partie du livre finit dans une manière tragique. Mais tout c’est passé par hasard. Il pense que l’arabe veut le frapper avec son couteau. Meursault, dans la deuxième partie, est dans sa cellule et il se refuse de voir le prête, après il y a le procès et pendant le procès on oublié ce qu’il a fait mais on insiste sur le fait qu’il était étranger. Il est étranger au règles de la société. Il est étrange ai règles de la société, on insiste sur le fait que sa mère était enterrée, on dit qu’il a fume devant son cadavre et que, après, il était aller voir un film comique. Il y a un contraste entre l’incommunicabilité de l’homme et les autres, l’homme n’arrive pas à parler avec les autres, il y a un monde qui est absurde. Apparemment on dit qu0il est insensible, indifférente à tout. Marie lui demande de se manier avec elle mais lui répond : « ça m’était égal ! » c’est la même chose. Mais dans sa cellule il pense à sa mère quand’ elle était à l’asile, il pense aussi à Marie. Il y a le contraste entre l’homme et la société, aussi un procès on ne l’écoute même pas, il ne cherche pas à sa justifier, il dit seulement qu’il y avait une chaleur insupportable. La nature a un rôle très fort et négatif, le mal de vivre est le même qu’on a vu dans Baudelaire. Meursault est victime de l’hasard, par hasard il avait une révolter, par hasard il rencontre l’arabe et il y avait le soleil. Il n’arrive pas à réfléchir, il voudrait avancer mais il y a l’arabe, pour se débarrasser du soleil il tire sur l’arabe. Meursault se dispute aussi avec le prête. La nature a surtout un sens négatif mais il y a aussi une nature positive, comme lorsque le dimanche il allait se baigner à la mer avec Marie. Pour le jour de son exécution il souhaite qu’il ait beaucoup de monde pour assister à ses funéraire.
« Quatre coups brefs à la porte de malheur » : Meursault a une hallucination et il était surpris de voir l’arabe. L’arabe a un couteau, qui, à cause du soleil, devient une longue lame, puis un glaive et une épée. Dans la première partie on a un style fragmenter, de phrases brefs, tandis que la deuxième partie est tout à fait différente. Pendant le procès les amis de Meursault veulent défendre Meursault, mais le juge leur fait dire qu’il est allé voir un fil comique. Marie voudrait dire quelque chose en plus, mais elle ne peut pas, c’est le problème de l’incommunicabilité, elle doit dire la vérité mais elle voudrait ajouter quelque chose, on ne parle pas des sentiments pendant le procès. Il y a toujours le problème du langage et de la communication, l’homme n’arrive pas à s’exprimer. C’est surtout pendant le procès qu’on comprend le sens du titre. Le soleil représente le mal de vivre, donc c’est comme le « spleen » de Baudelaire.

« le malentendu « , c’est une pièce de théâtre qui parle du rapport entre le monde et l’homme, la solitude, l’absurde. On retrouve cette difficulté à communiquer on la retrouve dans cette pièces, où un homme est tué parce qu’il ne prononce pas un mot. Deux femmes ont un auberge et il voudrait quitte leur ville et voyager. Ils tuent tous leur clients qui sont seuls. Un jour un homme arrive à l’auberge, il ne se présente pas, il est le fils mais la mère et la sœurs ne le reconnaissent pas. Il est marié et il a des fils, sa femme lui conseille de se présenter mais elle est dans un hôtel et elle attend. Les femmes le tuent et après la jeune découvre que son marie a été tué. La fille s’appelle Marta et après elle va dans sa chambre parce qu’elle veut rester toute seule, tandis que la mère se jète dans un fleuve où elle jetait les corps de ses clients. Le thème de cette pièces est le même de la pièces de Sartre « huis clos ».

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