Lo stile e la sintassi francese

Materie:Appunti
Categoria:Francese
Download:89
Data:24.05.2005
Numero di pagine:8
Formato di file:.doc (Microsoft Word)
Download   Anteprima
stile-sintassi-francese_1.zip (Dimensione: 12.63 Kb)
readme.txt     59 Bytes
trucheck.it_lo-stile-e-la-sintassi-francese.doc     53.5 Kb


Testo

1. LE LANGAGE
Le signe
Le signe est un élément qui permet de transmettre un message. Le signe se définit par son signifiant (forme matérielle) et son signifié (la signification).
Le signifiant peut-etre visuel (le panneau d’interdiction de fumer), auditif, olfactif, tactile.
Le lien qui unit le signifiant et le signifié est arbitraire: c’est par convention que les hommes ont décidé, par exemple, que le feu vert signifiait .
La langue et le code
Le signes sont combinés entre eux selon des règles précises qui définissent un code.
Le code est la forme de langage adoptée pour la transmission d’un message.
Le langage verbal, commun à tous les hommes, se différencie en plusieurs code appelés langues.
A l’intérieur de la langue il y a des sous codes. Il y a la langue juridique, scientifique, recherchée, populaire etc. Puis la langue est orale ou écrite, soutenue, courante ou familière.
Chaque langue possède :
de mots enregistrés par le dictionnaire, une grammaire et des règles de combinaison des phrases.
Chaque langue reflète la culture du peuple qui la parle.
Les variations qui se manifestent au niveau du lexique, des constructions syntaxiques, de la prononciation, du style définissent des sous-codes à l’intérieur de la langue. Il y a variations dues à la région, à l’age, au milieu social (populaire, recherchée), à la situation de la communication et à l’argument traité.
2. LES FACTEURS DE LA COMMUNICATION
Le langage verbal sert pour communiquer et communiquer signifie qu’un émetteur transmet un message à un destinataire. Ce message renvoie à un contexte de référence (sujet, lieu, temps) : il s’exprime à travers un code spécifique et passe à travers un canal de transmission.
Le destinataire doit décoder le message envoyé par l’émetteur.
Le canal de transmission peut-etre oral ou écrit et il implique des usages différentes de la langue.
Dans le cas d’un message oral, on parle de locuteur et interlocuteur.
Le locuteur choisira un sous-code en fonction de la nature du canal et du message qu’il veut transmettre.
Le contexte référentiel designe la realité qui renvoie un mot.
-Le canal est un support physique à travers lequel on transmet un message.-
*Locuteur : une personne qui produit un message verbale.
Interlocuteur : une personne qui reçoit le message.
LA COMMUNICATION LITTERAIRE
Le propre de la communication littéraire est que l’émetteur se dédouble.
D’un coté il y a l’auteur, celui qui écrit, qui crée et invente. D’un autre coté il y a le narrateur ou les personnages qui nous parlent.
3. LE FONCTIONS DU LANGAGE
En parlant, on agit : on peut donner des informations, on peut exprimer ce qu’on pense, on peut expliquer etc.
Communiquer suppose donc une intention. Certains linguistes ont alors essayé de définir les « actes » accomplis lorsqu’on parle.
Pour chaque acte de parole, le locuteur dispose de plusieurs formules linguistiques qui lui permettront de s’adapter à la situation.
Chacun de ces « actes de parole » peut se raccrocher à l’une des six macro fonctions décrites par le linguiste Roman Jakobson.
La fonction référentielle se référe au monde extérieur ; elle est centrée sur l’information véhiculée par le message.
La fonction expressive est centrée sur celui qui parle et qui exprime ses opinions, ses sentiments, ses émotions, avec l’utilisation de mots comme « je », « ici », d’adjectifs évaluatifs, des superlatifs.
La fonction conative est centrée sur l’intelocuteur, et traduit la pression que le locuteur exerce sur son interlocuteur pour le forcer à faire quelque chose. Il y a l’emploi des pronoms de 2 personne, l’utilisation des impératifs.
La fonction phatique est centrée sur le canal. Elle sert à prolonger ou interrompre la communication, à vérifier que fonctionne bien, à attirer l’attention de son interlocuteur avec des expressions comme « tu comprends », « tu vois ».
La fonction métalinguistique est centrée sur le code. Le locuteur précise un mot, explique un expression, reformule ce qu’il a déjà dit avec des expressions comme « c’est-à-dire », « à savoir ».
La fonction poétique est centrée sur le message. Le locuteur ne pense pas seulement à transmettre des informations, mais à les transmettre avec une forme travaillé stilystiquement.
La fonction poétique est mis en jeu le plus souvent par la publicité et la littérature.
4. LA LITTERATURE ET LES SONS
Les phonèmes
Les phonèmes sont les plus petites unités du language.
Des unités sonores minimales d’une langue dépourvues de sens en sois, qui entrent dans la composition des mots.
L’écriture est seulement une tentative de transcription des sons.
Nous savons qu’un meme phonème peut etre rendu par plusieurs orthographes (є e, è, é, ai, ei) ;
Inversement, une meme lettre peut etre prononcée de façons différentes (« a » se prononce є suivi d’un « i », ã suivi d’un « n »).
L’étude de la musicalité d’un texte s’attache exclusivement aux phonèmes. Pour créer la musique du language, l’écrivain joue sur le combinaisons de phonèmes ou sur leur répétition.
-Lorsqu’un meme consonne est répété régulièrment, on parle d’ALLITERATION.
-Lorsqu’il s’agit d’une voyelle, on parle d’ASSONANCE.
On parlera de voyelles aigues (i) et de voyelles plus graves (a). On parlera de consonnes sifflantes (s) ou de consonne dures (k).
En jouant sur les alliterations et les assonances, l’écrivain peut produire un effet d’harmonie imitative (le rapprochement de phonèmes qui ensemble suggèrent un aspect de la réalité décrite). Les mots seront choisis pour suggérer par ex. la musique de l’eau, ou les sifflements du serpent.
LES SYLLABES ET LE RYTHME
Une syllabe orale comprend un phonème vocalique accompagné de 0, 1, 2, 3 phonèmes consonantique.
En francais, un mot est accentué sur l’avant dernière syllabe écrite s’il se termine par un muet, et sur la dernière dans tous les autres cas.
La syllabe accentuée s’appelle la syllabe tonique, c’est toujours la dernière dans la transcription phonétique.
Le mot en général n’est pas isolé mais il fait partie d’un groupe rythmique.
La position des accents toniques sera très importante pour la musique des vers en poésie.
La liaison est un enchainement dans la prononciation de deux mots, l’un se terminant par une consonne ou un e muet, l’autre commencant par une voyelle ou un h muet.
Par example : lac artificiel .
Il y a hiatus lorsque deux voyelles sont en contact à l’oral. (une vie agitée)

Le rythme, crée par la retour périodique des accents toniques, est une composante naturelle de la langue
5. LA LITTERATURE ET LES MOTS
Un mot est une suite de différents phonèmes qui, mis ensemble, ont une ou plusieurs significations.
L’ensemble des dénotés, c’est-à- dire dire la totalité des sens et des emplois possibles du mot, définit le champ sémantique de ce mot.
On dit alors que le mot est polysémique.
Définir un mot, c’est le ranger dans des catégories, selon sa nature morphologique et en fonction de l’ensemble des propriétés qui déterminent son sens appelées traits sémantiques.
LES CLASSES DES MOTS
En fonctions des traits sémantyques, on voit alors se dessiner des ensembles de mots hiérarchisés sous une étiquette générale appelée hyperonime.
Example :
Un mot peut avoir un synonyme, c’est-à-dire un mot dont les propriétés sémantiques sont très proches.
Par example : maison > demeure, domicile, logement.
Il existe des dictionnaires spécialisés pour proposer des synonymes.
Lorsque pour désigner un objet, on utilise une définition à la place du mot exact, on fait une périphrase.
Ex. : le chien = l’ami de l’homme.
On appelle champ lexical un ensemble des mots (nos, adjectifs, verbes) qui relèvent d’un meme domaine de la réalité.
Dans un texte, les mots renvoient les uns aux autres.
Les mots qui apparaissent, pour la première fois dans le texte, ils sont précédés de l’article défini, parce qu’ils ont été implicitement introduits par le mot de sens plus général qui les contient tous.
Les réseaux associatifs sont fondés sur les champs lexicaux.
Connotation : tout ce qu’un mot peut évoquer et suggérer par association d’idées en plus de son sens intrinsèque appelé dénotation.
LES IMAGES
Les images sont fondées sur une analogie explicite ou implicite entre deux éléments qui possèdent un trait sémantique en commun.
Elles impliquent donc toujours trois termes :
1) la comparé : l’objet que l’on compare,
2) le comparant : l’objet auquel on compare,
3) le motif de la comparaison : le trait commun.
S’il existe un terme comparatif (comme, ainsi que, tel, pareil à, ainsi) on parle dans ce cas de comparaison.
S’il n’y a pas de terme comparatif, on parle alors de métaphore.
Une image est filée lorsqu’elle se prolonge dans un texte, en mettant en rapport plusieurs mots appartenant au champ lexical du comparant ou du comparé.
On parle de synesthésie lorsqu’on établit des anologies entre différentes perceptions sensorielles : la vue, l’ouie, l’odorat, le toucher, le gout.
Il y a métonymie lorsqu’un mot est utilisé à la place d’un autre et qu’il existe entre eux une relation logique; par example le contenant par le contenu (boire un verre au lieu de boire du vin, le coeur pour le courage).
La synecdoque consiste à utiliser un autre terme qui se rapporte cependant au meme objet par example la partie pour le tout. (les voiles, les bateaux).
L’allégorie consiste à représenter une idée sous une forme concrète, par example la Mort comme une vieille femme à la faux.
6. LA LITTERATURE ET LA SYNTAXE
LES FONCTIONS SYNTAXIQUES

Pour communiquer, on agence les mots selon les règles de la morphologie et de la syntaxe pour former des phrases qui à leur tour formeront des textes.
Le sujet, le verbe, l’attribut, l’apposition, le complément d’objet direct ou indirect, etc.
Un sujet peut etre :
- un nom Pierre n’écrit pas.
- un pronom Il n’écrit jamais.
- une proposition Qu’il écrive est étonnant !
- un infinitif Ecrire lui est difficile.
Un attribut peut etre :
- un adjectif Il est sympatique.
- un nom C’est un garçon sympatique.
ATTENTION !
Attribut = predicato nominale
Epithète = attributo
Complément d’objet second = complemento di termine.
En francais il y a quatre types de phrases grammaticales:
- la phrase déclarative, affirmative ou négative
- la phrase interrogative
- la phrase exclamative
- impérative.
La phrase simple comprend un seul verbe. La phrase complexe s’articule en diverses propositions. Lorsque la phrase est particulièrement élaborée on parle de période.
LES FIGURES DE CONSTRUCTIONS
- L’inversion consiste à bouleverser l’ordre logique et habituel des mots. Elle est fréquente en poésie. (les blanches mains)
- L’ellipse consiste à supprimer un ou plusieurs mots dans la mesure où leur absence ne nuit pas au sens.
- La répétition consiste è reprendre un mot ou un expression dans plusieurs phrases ou parties de texte.
- L’accumulation est une énumération de détails. (femmes, enfants, vieillards...)
- La gradation consiste à ranger les termes de l’accumulation par ordre progressif.
- Le parallélisme est la comparaison entre deux elements.
- Le chiasme : figure de style qui consiste à inverser l’ordre entre deux éléments d’un groupe par rapport à un autre groupe
de deux éléments.
La cohésion définit les mécanismes de tissage tu texte qui sont de nature grammaticale.
Pour éviter la répétition, on substitue au nom un pronom ou un autre groupe nominale.
On peut remplacer un mot par :
- un synonyme, un hyperonyme, une périphrase…
7. LA LITTERATURE ET LE STYLE
L’écart
L’écart consiste à utiliser la langue d'une façon originale qui trompe l’attente du lecteur : on fait un « écart » par rapport à ce qui se passe normalement.
L’écart consiste donc à provoquer l’attention, voire la surprise, du lecteur.
La récurrence
Parfois, un élément n’est pas étonnant en soi dans un contexte déterminé, mais l’auteur l’utilise de façon systématique, on parle alors de récurrence.
1. LES FORMES DU DIALOGUE
Dans la vie quotidienne, le dialogue est un texte oral construit à plusieurs voix. C’est un texte spontané.

Graphiquement pour comprendre qui parle, on utilise des artifices typographiques: le nom du locuteur est indiqué et souvent des tirets distinguent les différentes répliques.
Dans le récit il y a une alternance de discours direct et de phrases narratives.
Des artifices typographiques permettent de délimiter exactement les phrases au style direct.
Ces dernières sont les plus souvent introduites par des verbes: dire, faire, annoncer, affirmer, demander, répondre…
Le discours direct donne une impression d’authenticité dans la mesure où le narrateur s’efface pour laisser la parole à d’autres.
Ecrire au style direct est donc un choix stylistique de la part d’un écrivain.
LE TEXTE DESCRIPTIF
On trouve des descriptions, partout dans la vie quotidienne.
Une description a le plus souvent un role de présentation. Elle permet:
- de situer des éléments dans l’espace,
- de présenter un personnage, un objet, un lieu en en détaillant les différentes composantes,
- d’attribuer des qualités, des propriétés aux éléments présentés (forme, couleur, taille)
- de présenter une situation (lieu, moment, personnage).
Elle se fait généralement au présent, et dans les textes au passé, c’est l’emploi de l’imparfait qui la caractérise.
Lorsqu’on présente un personnage, on parle de portrait.

Esempio