Le XVII siècle

Materie:Riassunto
Categoria:Francese

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Le XVII siècle
Le début du siècle : une époque troublée
On peut dire que le XVII siècle commence en 1610, avec l’assassin de Henri IV par Ravaillac. Avec la mort du roi, l’équilibre précaire qu’il avait réalisé est déchiré. Successeur de Henri IV est Louis VIII, qui a seulement neuf ans quand il monte sur le trône ; le Parlement confie à sa mère, Marie de Médicis, l’administration des affaires du royaume, mais elle se laisse influencer par l’italien Concini, son favori.
Les revendications des nobles
Les nobles, en profitant de la faiblesse du royaume, s’enhardissent dans des nouvelles revendications que Marie de Médicis essaye de contenir en distribuant des pensions de plus en plus riches et, naturellement, dangereuses pour les finances de l’état. Aussi les protestants s’inquiètent sous la menace d’un retour aux discriminations des catholiques. Les Etats Généraux, convoqués en 1614, n’obtiennent pas aucune résultat, au contraire des mesures de Concini, qui ne représentait rien à l’intérieur de la cour. Le roi devient majeur en 1615, mais il est tenu à l’écart des affaires du royaume jusqu’au 1617 quand, poussé par son ami Albert de Luynes, fait éloigner sa mère et tuer son conseilleur.
Louis XIII et Richelieu
L’arrivée au pouvoir de Louis XIII ne met fin aux désordres des nobles et des huguenots. Seulement l’avènement du Cardinal Armand Jean du Plessis de Richelieu amène une certaine conciliation à intérieur de la cour.
La main de fer du Cardinal
Homme ambitieux, intelligent et douée d’une grande acharnement, Richelieu adonne son action politique à consolider le pouvoir du royaume sur la devise de la Raison d’état, c'est-à-dire la conviction selon laquelle l’Etat doit être prioritaire par rapport aux autres intérêts. S’appuyant sur la noblesse de robe, une nouvelle classe sociale constitué par des hauts fonctionnaires issus de la bourgeoisie, qui lui assurent leur fidélité, il continue la lutte contre la noblesse d’épée, poussé par la volonté de récupérer les anciens valeurs de loyauté et soumission au roi. C’est dans cette optique qu’il faut comprendre son interdiction des duels et la destruction de diverses châteaux symboles de la féodalité. Sa lutte contre les protestants est une prise de position politique : il n’accepte pas la présence de une organisation militaire et politique autonome en territoire français. C’est en ces termes que s’explique l’intervention en 1628 contre La Rochelle, ville riche et puissante qui représentait un véritable abri pour les protestants. Richelieu dirige personnellement son siège qui dure une année et coûte la vie à 21000 habitants sur 27000.
Le conflit se conclut en 1629 par la Paix d’Ales, avec laquelle le cardinal garantit aux protestants la pleine liberté de professer leur religion, mais leur enlève toute permission de s’organiser en forts groupes.
La politique extérieure
But de Richelieu est ce de surpasser les Habsbourg d’Espagne et d’Autriche, et pour réaliser ça il réorganise l’armée et la marine et en 1635 il entre en guerre. Dans ce conflit la France supère ses limites naturels, mais le cardinal ne peut voire les résultats de son travail parce que il meure la même année. L’année suivante aussi le roi a disparu et la France est maintenant un pays forte et caractérisé par la concentration des pouvoir dans la capitale, Paris, ville modernisée et brillante.
La situation des campagnes est encore tragique, en effet une crise financière a apporté une nouvelle disette et s’annonce une nouvelle période d’instabilité dû à la régence d’Anne d’Autriche.
En attendant Louis XIV : la fronde
Premier ministre durant la régence d’Anne d’Autriche est le cardinal Mazarin. Il s’occupe, dans une période d’instabilité et de troubles, de gérer les hostilités de l’Espagne, qui n’accepte pas les résolutions de la Guerre des Trente Ans, et des problèmes intérieures comme la crise financière. Il y aura nombreuses insurrections à cause de la pression fiscale, comme celle de la Fronde parlementaire en 1648-49 qui s’explique dans la revendication d’un plus ample contrôle sur les décisions concernant les finances publiques. Aussi la Fronde des Princes, guidée par le prince de Condé, montre la mesure des conflits d’intérêt qui opposent la noblesse d’épée à celle de robe et au Parlement.
Le règne du Roi Soleil
A la mort du cardinal Mazarin, en 1661, prend le pouvoir Louis XIV, qui adopte une politique centralisatrice ; en effet sa devise est l’état c’est moi, et elle exprime sa volonté d’accomplir la mission d’un monarque, qu’il considère droit divin. Il réduise les nobles féodales en simples courtisans qui vivent à Versailles. En 1661 il éloigne des conseillers infidèles et s’appuie sur des collaborateurs appartenant à la bourgeoise ou à la noblesse de robe, tels que Colbert qui s’occupe de l’économie du pays et Louvois qui organise une armée forte et novatrice. Il réduit les libertés religieuses concédés aux huguenots par l’Edit de Nantes. Il continue à travailler au maintien de la suprématie du pays en Europe et il s’engage dans de nombreuses guerres qui lui permettent de maîtriser les hostilités traditionnels de la France comme l’Angleterre et l’Espagne.
Un ministre doué
Homme intelligent et déterminé, Colbert jusq’à sa mort en 1683 s’est engagé dans les plus importantes charges de l’état. Surtout dans le domaine économique il a montré ses capacités : il avait compris que la richesse d’un pays se fonde sur la circulation monétaire et sur son travail, il soutien donc, avec une politique protectionniste très rigide, la production intérieure en aidant les industries avec des privilèges aux meilleurs travailleurs par exemple. Il contrôle en autre la qualité des produits en instituant un réseau d’inspecteurs. On assiste dans cette période à une épanouissement de l’artisanat et de l’exportation.
L’apogée du règne
Jusqu’aux années 80 le règne de Louis XIV mérite cette appellation, en effet la France est un pays riche, fort militairement, on enregistre une poussé démographique et la population voit dans cette politique une possibilité de stabilité et tranquillité. La vie artistique s’épanouit grâce au mécénat royal qui préconise le développement de une culture nationale homogène.
Le déclin
Le plus long règne de France ne maintient toujours une telle unanimité d’approbation, en effet les guerres continuelles, le mécontentement de la bourgeoisie humilié par des raison de caste, la révocation de l’Edit de Nantes au détriment des protestant sont les causes du déclin du règne, qui finit avec la mort du roi en 1715.
Une société en transformation
Nous pouvons voire que subsiste une ligne de partage entre les différents groupes sociaux, dont rôle est encore indéfini. Les intolérances deviennent les symptômes, ou le résultat, de la recherche d’une identité perdue pour les nobles d’épée, à atteindre pour l’haute bourgeoisie. A la base des mutations il y a des facteurs économiques, comme la crise de l’agriculture due au vieillissement des techniques de culture, la hausse de prix causée par le flux de métaux précieuses américains, le développement de l’industrie. Naturellement cette politique favorise les hommes qui disposent d’importants quantité d’argent au détriment des vieux nobles, propriétaires de terres. Les nouveaux riches sont devenus les porteurs de nouveaux valeurs qui se sont reflétés dans les domaines politique, culturel et artistique. Ils sont donc entrés dans les clercs intellectuels de l’époque.
Les foyers de la vie culturelle
Il faut dire que la vie intellectuel et artistique n’est jamais séparée de une dimension plus mondaine.
Les salons (ou « hôtel particulier »)
Au début du siècle l’élaboration culturelle est l’apanage des salons, des grandes pièces de réception à l’intérieur des palaces aristocratiques ou des hôtels bourgeois où se rencontrait l’élite intellectuelle de la capitale. Leur origine est due au déclin momentané de la cour qui après les fêtes de Valois avait été délaissé par Henry IV, qui préférait la chasse et les sports aux fêtes mondaines. Dans les salons on poursuit l’art de la conversation et du raffinement. On y traite les sujets les plus diverses : grammaire, histoire, théâtre, sculpture. Dans cette atmosphère d’hédonisme et de culture naît la préciosité et s’épanouit le concept de l’honnête homme.
La cour
Au milieu du siècle la cour revient à ses anciennes splendeurs grâce à la montée au trône de Louis XIV, et ce entraîne le déclin des salons. A Versailles, son palais préféré, le Roi Soleil installe sa cour, un ensemble de dix mile personnes dont il faisaient partie fonctionnaires, nobles, personnel de service, intellectuels. Tous habitent dans la cour et ils suivent les lois et les règles imposées par le roi. Un code de conduite règle l’ensemble des activités, comme par exemple les cérémonies du lever et du coucher du roi ; la cour devient centre de mondanité, culturelle et politique. Les courtisan doivent poursuivre un idéal de galanterie et d’honnêteté et doivent se montrer à l’aise en toute occasion, ils doivent être sensibles à la poésie et montrer un goût raffiné.
La préciosité
On peut dire qu’il s’agit d’un phénomène sociale, mais aussi d’un mouvement littéraire. Elle doit ses origines à la tentative de s’opposer à la grossièreté et son nom dérive des railleries que le mouvement a exercé. Le mouvement parait essentiellement français mais en réalité le maniérisme se développe dans cette période en toute Europe. Animés par la volonté de se distinguer et d’échapper à la vulgarité quotidienne le précieux finissent par édifier un monde à part fait de complicité, de conversations et d’artifice. La politesse et le raffinement règnent et sont appliqués, d’une façon exagérée et ridicule, à tout comportement : cela va de l’habillement à l’extériorisation des sentiments les plus intimes. Mais ce goût pour l’insolite s’exprime surtout dans le langage, on utilise des figures hyperboliques, des périphrases, des métaphores. Les précieux ont été souvent la cible de une ironie cinglante, par exemple Molière écrit l’œuvre Le précieux ridicule.
Le féminisme ante-litteram
La préciosité est un phénomène du féminin, c'est-à-dire que la femme représente la figure centrale, pas seulement comme objet de dévouement mais aussi comme promotrice culturelle. On peut évaluer la portée innovatrice de ce fait en tenant compte que la préciosité est aussi une expérience bourgeoise. Si la présence des femmes ne représente une nouveauté dans les milieux aristocratiques, dans le milieu bourgeois est une véritable révolution. Les bourgeoises ne se limitent pas à affirmer l’égalité des sexes, mais il luttent pour le divorce et l’union libre. Il faut dire que la préciosité a constitué une étape essentielle pour la libération des femmes, qui pourront participer aussi participer à la vie intellectuelle du temp.
L’honnête homme
Antoine Gombauld, chevalier de Méré, un habitué des salons, a construit une théorie sur l’honnêteté. Il s’agit d’un idéal de sagesse et de mesure. L’honnête homme est un individu érudit mais non pédant, raffiné et galant mais non agaçant. En autres mots, il possède une noblesse de cœur qui ne dépend pas du sang. L’insistance sur la noblesse de cœur a souvent été interprété comme une autorisation, voire un encouragement, à l’ascension sociale de la bourgeoisie.
Les pensées religieuses
Pour contraster le progrès du Protestantisme, l’église commence une réorganisation de ses ordres et de sa spiritualité, la Réforme Catholique ou Contre-Réforme. Quatre mesures du pape Paul III en marquent le début : la confirmation des statuts des Jésuites, fondé par Ignace de Loyola, qui devait faire appliquer la volonté du pape ; la réorganisation du Tribunal de l’Inquisition ; l’institution de une commission chargée de dresser l’Index, la liste des ouvrages dangereux pour la foi catholique et dont la lecture était interdite aux fidèles ; la réunion du Concile de Trente, qui réaffirmait les dogmes et les croyances rejetés par les protestants. Sous le pontificat de Pie V, dans la second moitié du XVI siècle, l’église est retournée à l’austérité. La période qui s’étend de la fin du XVI siècle à la moitié du XVII est brillant pour l’église, qui le définit le siècle des Saints. Il faut dire que l’unité du monde catholique n’a été pas encore réalisée, en effet vont s’opposer deux positions inconciliables : celle des Jésuites, qui veulent concilier la vie dévote à celle mondaine, et les Jansénistes, qui prêchaient une foi plus sévère.
L’éducation au XVIIe siècle
Pendant ces siècles l’éducation joue un rôle fondamentale surtout pour les fils des classes montantes et pour les jeunes femmes. Ecrivains, savants et prélats s’interrogent sur les finalités de une bonne instruction, les publications sur ce sujet sont nombreuses et les écoles se multiplient. Parmi que le roi Louis XIV confie l’instruction du Dauphin à Bossuet et celle du petit dauphin à Fénelon, des écoles plus populaires se répandent, par exemple les petits écoles chrétiennes, ordre fondé par Jean-Baptiste de la Salle ou les collèges des oratoriens. Ces écoles sont partagés par diverses idéologiques, mais elles ont en commun l’idéal pédagogique de parfaire à travers les diverses disciplines la formation et l’éducation des jeunes. On prend en autre en considération le problème de l’éducation des femmes, il faut dire que les préjugés représentent des obstacles. Fénelon dénoncera en autre dans son traité l’idée que la femme peut rester à un niveau inférieur par rapport à l’instruction des garçon.
Le Baroque
Le Baroque est une notion utilisée à la fois dans le domaine architectural et dans celui de la littérature. Le terme baroque dérive du portugais barroco, qui indique une pierre irrégulière. Ce mouvement surgit à la fin du XVIe siècle et se poursuit jusqu’aux années 1630-35. Ce mouvement exprime un sentiment de crise dû aux guerres de religion qui ont bouleversé l’Europe, à l’instabilité politique et à la Contre-Réforme qui provoque un extraordinaire développement de l’art religieuse. Le mouvement baroque n’auras jamais, en France, une école, et il se caractérise, en architecture, par la multiplication des courbes, les foisonnement des décorations et les effets de contraste : un exemple de palais baroque et ce de Versailles. En littérature les tendances baroques s’insèrent vers la fin du XVIe siècle surtout dans le théâtre et dans la poésie. But des artistes baroque est ce de rendre la nature et la réalité plus belles. Les thèmes de ce mouvement sont la métamorphose, la fugacité, l’illusion, le miroir, l’eau, et il faut dire qu’ils caractérisent la littérature plus que la forme. Du point de vue linguistique, on peut voire que on recourt aux sonorités, aux contrastes et aux images.
Le Classicisme
Le Classicisme apparaît en France au début du XVIIe siècle, mais on peut parler d’école classique seulement à partir du 1660. Il faut signaler que les artistes qui ont travaillé durant la seconde moitié du siècle ne se sont pas nommés classiques, termes référé aux auteurs de l’Antiquité, qui représentaient des models à imiter. Aujourd’hui on parle de classicisme pour la période qui va du 1660 au 1685. La doctrine classique traduit la volonté d’arriver à la perfection dans le domaine de des arts en surtout en littérature. Le classicisme se caractérise par la régularité et la rigueur, et les créations se reconnaissent par leur sobriété, la symétrie des formes, le souci de l’équilibre et de la proportion. En littérature ces principes prennent corps dans une langue épurée, claire et précise, expliqués dans divers traités.

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