L'Etranger

Materie:Tesina
Categoria:Francese

Voto:

1 (2)
Download:266
Data:23.05.2008
Numero di pagine:25
Formato di file:.doc (Microsoft Word)
Download   Anteprima
etranger_2.zip (Dimensione: 20.52 Kb)
trucheck.it_l-etranger.doc     87.5 Kb
readme.txt     59 Bytes


Testo

L’ ÈTRANGER – ALBERT CAMUS
Lavoro di gruppo,sono stati riassunti e analizzati i capitoli salienti dell’opera.
PREMIÈRE PARTIE
CHAPITRE I
Le contenu:
• Monsieur Meusault arrive à l’asile;
• Il rencontre le directeur ;
• Il va voir sa mère morte à la margue
• Communication de l’enterrement religieux fixé à 10heures du matin.
La scène présentée dans ce passage se déroule dans le bureau du directeur à l’asile et après pendant le trajet pour aller à la margue.
Les personnages :
• Meursault : la lecture de ce passage nous permet de mieux comprendre son caractère et les rapports entre lui et les autre personnages.
- Il est jeune :en effet, quand le directeur s’addresse à lui,il dit « vous êtes jeune » :
- Avant l’entrée de sa mère dans l’asile, ils habitaient ensemble. Maintenant il vit seul parce que sa mère est morte ;
- Il est un employé et il appartient à une classe sociale moyenne ( « vos salaires sont modestes »)
• Le concierge : il essaye d’avoir un dialogue avec Meursault mais il ne repond pas.
• Le directeur : il cherche à le consoler et à l’aider comme si Meursault était son fils : il organise l’enterrement de la femme. Le dialogue qu’il a avec Meursault peut- être divisé en deux parties : la première est caracterisée par la sincérité,alors que dans la deuxième il y a l’adhésion aux codes sociaux.
Dans cet extrait on peut comprendre que le rapport de Meursault avec sa mère était très difficile : elle s’ennuyait beaucoup avec le fils à cause de leurs âges très différents. Elle ne parlait pas avec lui quand ils habitaient ensemble. Meursault a des difficultés à instaurer des dialogues avec les autres : en effet soit le concierge que le directeur essaient de lui parler ma Meursault ne repond pas.
Dans ce passage Meursault apparaît sincère mais sourtout détaché,impersonnel et objectif. Il n’exprime pas ses sentiments et ses impressions à la nouvelle de la mort de sa mère.
Le style :
Le style d’écriture de Camus est très objectif et concis : il n’y a pas beaucoup d’adjectifes.
Dans le dialogue entre le directeur et Meursault on peut relever la présence de quelques mots du language administratif,par example « dossier » et « service difficile ».
On peut souligner aussi des expressions automatiques prononcées par le directeur,comme « mon cher enfant » et « je suis à votre disposition dans mon bureau ».
L’auteur utilise le temps passé pour se référer à la mère du protagoniste, laquelle est morte.
Dans l’ensemble l’auteur donne un image d’un personage indifférent et passif : il n’exprime pas ses sentiments et ses pensées. Même la mort de sa mère est vecue d’une façon triste et froide.
LE CORTÈGE
Le traitement des personnages :
- il y a une vaste description de Pérez,il est un vieillard claudicant. Il essaye de suivre l’allure de la voiture funèbre mais c’est trop difficile à cause de la chaleur étouffante,ainsi il trouve un chemin de traverse. Il a feutre à bout de bras ;
- le directeur marche « avec beaucoup de dignité sans un geste inutile ». il ne se préoccupe pas de gouttes de sueur qui perlent sur son front ;
- l’employé des pompes funèbres demande à Meursault si le cadavre dans le cercueil est sa mère. Il s’essuie le crâne avec un mouchoir et soulève le bord de sa casquette avec sa main droite.
Style et contenu :
Ce texte est soit narratif que descriptif,parce qu’il y a soit la description des personnages ( Pérez,le directeur,l’employé des pompes funèbres) et du paysage que des dialogues.
Le texte ne suit pas un plan précis parce qu’il s’agit d’une description instinctive,le narrateur décrit immédiatement ce qu’il voit ou pense afin que le lecteur puisse s’identifier au protagoniste.
L’atmosphère est grave,on peut remarquer que le narrateur insiste sur la chaleur accablante pour souligner le détachement de la doleur pour la perte de sa mère.
Meursault est en effet,plus intéressé au milieu environnante qu’a sa souffrance intérieure. Tout fois l’auteur veux nous transmettre l’atmosphère que l’on respire avec l’évocation de couleurs sombres (par exemple le noir du goudron et du convoi funèbre) en opposition aux couleurs claires du ciel et du soleil et la répétition des mots qui évoquent le macabre comme l’employé de pompes funèbre et le convoi funèbre.
En outre dans ce texte il y a un bref dialogue à travers le quel on s’aperçoit que le narrateur ne veut pas nous déclarer ses sentiments et il préfère rester seul.
Tout donne une impressionne d’absurde parce qu’il est inconcevable une personne qui ne souffre pas pour la perte de sa mère.
L’importance du paysage :
Une particularité intéressante est représentée par le paysage,qui se présente en fort contraste avec la situation environnante.
Le soleil inonde la campagne avec ses rayons broulant et partout il retentit « chant des insectes et de crépitements d’herbe ».
L’éclat du ciel est insoutenable et il fait « éclater le goudron ».
Il semble une situation quotidienne mais il n’est pas ainsi parce qu’il y a un enterrement.
CHAPITRE 5
DIALOGUE ENTRE MEURSAULT ET SON PATRON
L’employé Meursault
Avant tout,l’employé Meursault pense être un bon emplyé parce qu’il se préoccupe de ne pas perdre de temps pendant qu’il est en train de travailler. Malgré tout il s’attend à être reproché par son patron. En effet Meursault manque de sécurité et il craint de ne pas faire un bon travail.
Pour cette raison il pense : « j’ai été ennuyé parce que j’ai pensé qu’il allait me dire de moins téléphoner et de mieux travailler ».
Le patron a une bonne opinion de son employé et pour cette raison il lui propose de diriger un bureau à Paris. Mais il est un peu décu de la réponse de Meursault lequel ne veut pas changer sa vie.
En ce qui concerne sa personnalité,Meursault a une attitude humble devant son patron,comme nous pouvons remarquer dan les passages suivants :
- « J’ai dit que oui ma que dans le fond cela m’était égal »
- « Je suis retourné travaiiler alors »
- J’aurais préféré ne pas le mécontenter ».
Le patron
Le patron de Meursault a l’intention d’installer un bureau à Paris qui traterait avec les grandes compagnies. Telle vie permettrait de vivre à Paris et de travailler et elle devrait être la vie idéale pour un jeune comme Meursault.
En outre,il croit que la vie d’un jeune employé devrait être caractérisée par l’ambition, élément nécessaire pour améliorer les affaires.
Le patron n’impose pas ses décisions,mais il veut seulement savoir les opinions de ses employés et en effet il imagine que Meursault accepte sa proposition. Mais il est déçu parce que Meursault n’accepte pas d’aller à Paris et il manifeste sa décepton avec un air mécontent et en disant que Meursault n’avait pas d’ambition.
En outre, le patron n’a ni nom ni visage comme,dans la même façon n’avait ni nom ni visage le concierge de l’asile ;en effet Meursault ne considère pas ces gens comme personnes bien définies,mais en fonction de leur travail.
L’indifference
La proposition faite par le patron représente pour un employé l’opportunité de changer de vie,la possibilité d’avoir sucés dans les affaires et l’occasion de gagner beaucoup d’argent. Mais tout cela n’est pas important pour Meursault,qui reste complètement indifférent. Et la manifestation la plus significative de son indifférence est la phrase : « J’ai dit que oui mais que dans le fond cela m’etait égal », qui dénote aussi que le protagoniste n’a ni desirs,ni besoins particuliers.
Meursault n’est pas intéressé à la proposition de son patron pour plusieurs raisons :
- il n’a pas d’ambition
- il n’est pas intéressé à un changement de vie,parce que la sienne ne lui déplait pas du tout
- il se contente de sa quotidianité
Tputes ces raisons ne sont pas acceptables pour le patron,parce qu’il pense que la vie d’un jeune employée doit être pleine non seulement d’ambition mais asussi de voyages et de changements.
Au contraire,il aurait pu admettre des raisons qui concernet le milieu familier ou des raisons de santé.
L’attitude indifférente de Meursault nous porte à nous interroger sur ce qui concerne sa satisfaction et ses sentiments. Probablement il est satisfait parce qu’il se contente de ce que la vie lui offre : on ne comprende pas s’il est heureux ou pas,il semble plutôt indifférent.
Donc l’attitude de Meursault n’est ni négative ni positive : en effet,quand il parle de ce qu’il pense ou de ce qu’il éprouve il reste toujours vague,sans nous donner des informations trop précises sur lui même.
L’indifférence et la personnalité de Meursault s’opposent au dynamisme et à l’attitude de son patron,et nous pouvons les décrir avec ces adjectives :
MEURSAULT PATRON
Indifférent ambitieux
Détaché enthousiaste
Humble sûr de lui
Donc Meursault et son patron ont deux attitudes différentes et presque opposées,mais au même temps ils réussisent à se comprendre parce qu’ils s’acceptent l’un l’autre.
Le scepticisme :
Meursault n’a pas toujours été indifférent à l’action,à l’argent, à l’ambition ; en effet quand’il était étudiant il avait beaucoup d’ambitions de ce genre. Mais quand il a dû abandonner ses études il a trés vite compris que « tout cela était sans importance réelle ».
Dans cette question il est important aussi l’image que les autres ont de Meursault : le patron,comme le directeur de l’asile,lui disent « vous êtes jeune »,mais l’image qu’ils se font d’un jeune employé ne ressemble pas à celle que nous donne Meursault. En effet le style de vie conduit par la protagoniste n’est pas celui d’un jeune homme commun,mais plutôt celui d’un homme sérieux et expérimenté.
Le récit :
En ce qui concerne la syntaxe et le style :
- la majorité de phrases courtes
- le rythme est morcelé
- il y a l’utilisation de la subordination
- la coordination est presque absente
- les phrases sont caractérisées par le polysyndète
en outre,en ce qui concerne la forme, Neursault raconte à la première personne pendant tout le récit,mais en réalité il est sourtout spectateur, parce qu’il ne participe pas aux événements qui lui arrivent. Il est passif,sans ambitions et il est subordonné à son destin,que Meursault ne cherche pas à changer.
Commentaire :
L’apparence de gentillesse et d’honnête que Meursault donne,n’est pas sa vraie attitude,mais elle représente seulement le fait qu’il est indifférent et détaché de la réalité : il est.en effet, un « étranger ».
MEURSAULT ET L’AMOUR
Meursault est étranger envers l’amour,Marie et les autres personnes.
Il est un homme vide,qui n’a pas de sentiments. Face à Marie il exrime un sentiment de faute,parce-qu’il ne portage pas les sentiments de Marie.
Le réaction de Marie à l’indifférence de Meursault :
Dans un premier moment Marie veut découvrir si Meursault l’aime. Elle lui pose beaucoup de questions. Quand elle comprende que Meursault n’est pas si loquace répondant à ses questions, elle rigole et tende sa bouche vers lui.
Par le mos de Camus on comprende que Meursault est un homme très indifferent à tout ce qui lui arrive. Entre Meursault et Marie il y a une situation d’incommunicabilité.
Contenu :
- Marie a demandé à Meursault s’il voulait se marrier avec elle ;
- Marie lui pose beaucoup de questions pour découvrir s’il l’aime ;
- Meursault est très indifférent à tout ce qui lui arrive
- Marie rigole et tend sa bouche vers lui.
Style :
- Les phrases sont courtes,mais il y aussi des subordonnées
- Le rythme est morcelé
- Le narrateur,qui est aussi le protagoniste du roman, n’exprime pas ses emotions
- Le style est concis,bref et synthétique
- Le temps verbal utilisé est le passé composé.
CHAPITRE 6
LE MEURTRE
Contenu:
- Meursault va à la plage et il rencontre l’Arabe.
- Meursault perd sa raison à cause de l’effet du soleil.
- Meursault tue l’Arabe.
Meursault, Raymond et sa femme sont invités à la mer par Massou,un ami de Raymond.
Après un premier bain de mer les trois hommes vont se promener sur la plage.
En se promenant ils trouvent deux Arabes. Une bagarre éclate et Raymond est blessé d’un coup de couteau au bras. Une fois soigné Raymond veut retourner sur la plage et Meursault le suit.
Il retrouve les deux Arabes,étendus près d’un source.
Raymond sort un revolver. Meursault lui demande de le lui donner pour éviter qu’il ne tire sans avoir été provoqué. Les deux Arabes s’en vont.
Raymond soulagé retourne au cabanon avec Meursault. Il fait très chaud,la lumière est intense et aveuglante. Meursault décide de retourner près de la mer et de la source.
En voyant l’Arabe,Meursault se sent cruellment attaqué par lui;en effet,le reflet du soleil provoque en Meursault une fausse idée de l’arme.
Sous l’effet du soleil et de la lumière éblouissante il perd le control de lui-même.
Il n’est pas capable d’utiliser la raion et le meurtre de l’Arabe est una action involontarie,causée par la “maladie intérieure” de Meursault.
Cette action est absurde comme absurde est sa vie. Dans ce passage le changement de la nature est le tournant du roman.
Meursault réagit à ce signe de la nature involontairement,en touchant la gâchette du revolver.
Comme Sisyphe,Meursault est le héros de l’absurdité. Cette action est absurde comme absurde est sa vie.
Le soleil:
- écrasant
- s’opposait à lui- même
- gagne ses joues
- souffle êpais et ardent
- lasse pleuvoir du feu
Le soleil joue un rôle important dans l’histoire et il y a une augmentation progressive de sa partecipation dans la psychologie du protagoniste.
En effet,au début le soleil est presenté d’une façon réaliste,à la fin il devient le miroir de l’état d’âme du personnage. En autre,il faut remarquer l’ambivalence de l’influence à la fois bénéfique et violente du soleil sur l’individu.
Le meurtre:
- conséquence de l’irrationalité de Meursault
- destruction de l’équilibre de sa vie
le meurtre de l’Arabe est l’expression la plus forte de l’irrationalit de Meursault.
Il est la conséquence des effets que la lumière et la brûlure du soleil ont sur lui.
Le premier coup est l’expression de l’irrationalité mais les autres quattre coups représentent la résignation et l’acceptation de son destin absurde.
DEUXIÈME PARTIE
CHAPITRE 3
Nous avons choisi d’analyser le texte avec la citation de 4 phrases qui expliquent au mieux le contenu,le temps de la narration,la psychologie des personnages et leurs sentiments.
1) « Je peux dire qu’au fond l’été a très vite remplacé l’été »
(phrase d’ouverture du chapitre).
Le crime s’est passé pendant l’été et dans ce chapitre le protagoniste apprend que son procès se passera pendant l’été.
Donc le temps passé en prison semble être inesistant et sans aucun sens parce que rien ne s’est passé : en effet le roman a une structure cyclique parce que tous les événements le plus importants se passent pensant la même temps de l’année.
2) « Si j’avais le trac »
L’état d’âme du protagoniste est indifférent et serein, mais au même temps,plein d’espoir parce qu’il est conscient qu’il y a quelche chose qui est finalement en train de se passer.
En effet,dans le dialogue avec le gendarme,il affirme de ne pas savoir « le trac »,mais il est aussi excité parce qu’il peut voir un procès pour la prèmiere fois.
3) « être de trop, un peu comme un intrus »
L’accusé affirme de se sentir « de trop », comme un « intrus » au procès qui doit le juger.
Ce sentiments est souligné par les expressions :
• J’étais un peu etourdi
• Je ne m’étais pas rendu compte
• D’habitude les gens ne s’occupaient pas de ma personne
4) « Il n’est pas venu pour vous »
En suite,pour augmenter le sens d’étrangeté de Meursault,l’auteur décrit l’indifférence des journaux qui sont plus interessés au procès du parricide,le quel sera jugé le landemain.
Le temps :
• Juin
• Soleil : lors du procès on est en juin,donc on est en été. La salle du procès est pleine de soleil et de personnes
• L’air est étouffant comme le jour du crime
• Encore une fois le temps et la description del lieu soulignent l’état d’ âme du protagoniste
Syntaxe :
L’utilisation de phrases très courtes et simples, avec une coordination parataxique rend l’idée qu’il s’agit des pensées du personnages.
CHAPITRE 5
L’ATTENTE DE LA MORT
Les personnages de ce passages sont Meursault et l’aumônier,le quel donne un sens à la vie, parce qu’il croit en Dieu.
Ce passage s’ouvre avec Meursault qui pense à la mort,en attendent sa condamnation. Meursault reçoit la visite de l’aumônier et ils disputent sur ce qui concerne Dieu et la foi religieuse,mais le protagoniste n’a aucun intérét envers cet argument. En effet il montre son indifférence vers Dieu et vers la mort pour dissimuler sa peur de mourir,parce qu’il n’est pas capable de trouver un sens à sa vie. A ce point l’aumônier cherche à convertir Meursault,pour qu’il voie la lumière divine,mais il refuse et,de cette façon,il affirme son athéisme. Il admet de n’avoir plus d’espoirs dans la vie et de penser seulement à la mort. Il est en train de chercher un sens à la vie, même à travers le souvenir du visage de Marie,un visage plein de flamme et de desir.
Donc,on peut dire que Meursault a cherché en vain le sens de sa vie dans les passions malheuresement les passions se dissipent.
Meursault ne veut pass se convertir,parce qu’il me veut pas perdre la peu de temps qui lui reste à parler de Dieu.
L’aumônier continue dans le tentative de convertir le protagoniste jusqu’à provoquer une réaction agressive en lui. Il révèle à l’aumônier le fond de sa pensée : il est convaincu d’avoir vécu une vie et de devoir affronter la mort. Elle arrive comme un souffle obscur qui jette l’absence de sens sur la vie qu’il a conduit. Pour Meursault cette réalité est la seule chose importante. En effet on ne peut pas donner d’importance à ce qui s’est passé en vie,parce que la mort égalise tous les destins.
Avec l’apaisement qui le gagne,Meursault s’associe à la paix de la nature et à l’harmonie du monde. Cette communion est exprimée par la phrase « la merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée ».
A son réveil le narrateur commence à prendre note de ce qui l’entoure,il entre en contact avec la nature. Cette nouvelle sensibilité est exprimée clairement par la comparaison avec la marée : celle-ci symbolise les caractéristiques purement perceptibles et sensibles de la nature (vision des étoiles, odeurs de la nuit,bruits de la campagne). L’âme du narrateur est plongèe dans la nature qui lui transmet sa propre énergie vitale ;le narrateur vit ce contact avec la nature de façon passive : en effet l’âme de Meursault est prête à accueillir cette expérience. Comme la marée baigne lentement la plage,les merveilleuses sensations de paix que lanature lui donne entrent dans son âme jusqu’à la dominer complètement.
Au début Meursault semble comme indifferent au thème de la mort,qui est considérée de façon absurde,parce que tous les hommes sont liés par un seul et même destin,indépendamment du comportement tenu en vie. Au contraire,la nature réussit à lui transmettre une sensation de paix,calme et tranquillité. Alors il commence à considérer la mort comme la destination finale du cycle de la nature. Il pense qu’il ne faut pas pleurer la mort des parents,dans ce cas celle de sa mère,car,maintenant il réussit voir au-délà du mystère de la mort. En outre,il croit que sa mère,comme lui,au seuil de la mort devait se sentir libérée,heureuse au contact avec le monde et prête à tout revivre. Cette conception exprime son attachement à sa mère et à la vie.
Meursault retrouve la joie de vivre grâce à la lucidité qu’il recouvre pour affronter son destin. Tout d’abord il cherchait à échapper de la pensée de ce qui l’attend, c’est-à-dire la mort.
Il semble indifférent à la mort,mais en réalité cette indifférence cache une profonde angoisse.
Après il affronte son problème grâce à la visite de l’aumônier,il s’affranchit de ses peurs en lui révèlant le fond de sa pensée,donc il retrouve la lucidité pour affronter ce qui l’attend.
Cette lucidité lui permet de se sentir plus libre,prêt pour s’ouvrir à la « tendre indifférence du monde » et prêt pour accueillir son destin.
Le dernier défi lancé par Meursault consiste à se souhaiter qu’il y ait beaucoup de personnes à son exécution bien qu’elles ne l’aient jamais compris,parce qu’il ne veut pas rester seul. En effet,pendant sa vie,il s’est senti toujours différent des autresà cause de son amour pour la vie,loin des conventions sociales. Par exemple,au contraire de ce qui passait selon la commune mentalité sociale,il croyait qu’il ne faille pas pleurer la mort des propres parents. Mais à la fin de sa vie, grâce à la révolte qui crève en lui,il accepte la réalité et les conventions sociales.
Au seuil de la mort Meursault réussit à trouver un nouveau sens à la vie. Au début son âme est doninée par un sentiment d’indifférence vers le monde et par un sens de l’absurde,mais en suite il fait une révolte. En effet il apprend à accepter et aimer la vie comme elle est et il comprend que tous les hommes sont liés par la même destin,c’est-à-dire la mort. De cette façon Meursault retrouve la paix,la calme et la sérénité intérieures. Donc son attachement à la vie est exprimé par une communion silencieuse et profonde avec le monde.
L’ ÈTRANGER – ALBERT CAMUS
Lavoro di gruppo,sono stati riassunti e analizzati i capitoli salienti dell’opera.
PREMIÈRE PARTIE
CHAPITRE I
Le contenu:
• Monsieur Meusault arrive à l’asile;
• Il rencontre le directeur ;
• Il va voir sa mère morte à la margue
• Communication de l’enterrement religieux fixé à 10heures du matin.
La scène présentée dans ce passage se déroule dans le bureau du directeur à l’asile et après pendant le trajet pour aller à la margue.
Les personnages :
• Meursault : la lecture de ce passage nous permet de mieux comprendre son caractère et les rapports entre lui et les autre personnages.
- Il est jeune :en effet, quand le directeur s’addresse à lui,il dit « vous êtes jeune » :
- Avant l’entrée de sa mère dans l’asile, ils habitaient ensemble. Maintenant il vit seul parce que sa mère est morte ;
- Il est un employé et il appartient à une classe sociale moyenne ( « vos salaires sont modestes »)
• Le concierge : il essaye d’avoir un dialogue avec Meursault mais il ne repond pas.
• Le directeur : il cherche à le consoler et à l’aider comme si Meursault était son fils : il organise l’enterrement de la femme. Le dialogue qu’il a avec Meursault peut- être divisé en deux parties : la première est caracterisée par la sincérité,alors que dans la deuxième il y a l’adhésion aux codes sociaux.
Dans cet extrait on peut comprendre que le rapport de Meursault avec sa mère était très difficile : elle s’ennuyait beaucoup avec le fils à cause de leurs âges très différents. Elle ne parlait pas avec lui quand ils habitaient ensemble. Meursault a des difficultés à instaurer des dialogues avec les autres : en effet soit le concierge que le directeur essaient de lui parler ma Meursault ne repond pas.
Dans ce passage Meursault apparaît sincère mais sourtout détaché,impersonnel et objectif. Il n’exprime pas ses sentiments et ses impressions à la nouvelle de la mort de sa mère.
Le style :
Le style d’écriture de Camus est très objectif et concis : il n’y a pas beaucoup d’adjectifes.
Dans le dialogue entre le directeur et Meursault on peut relever la présence de quelques mots du language administratif,par example « dossier » et « service difficile ».
On peut souligner aussi des expressions automatiques prononcées par le directeur,comme « mon cher enfant » et « je suis à votre disposition dans mon bureau ».
L’auteur utilise le temps passé pour se référer à la mère du protagoniste, laquelle est morte.
Dans l’ensemble l’auteur donne un image d’un personage indifférent et passif : il n’exprime pas ses sentiments et ses pensées. Même la mort de sa mère est vecue d’une façon triste et froide.
LE CORTÈGE
Le traitement des personnages :
- il y a une vaste description de Pérez,il est un vieillard claudicant. Il essaye de suivre l’allure de la voiture funèbre mais c’est trop difficile à cause de la chaleur étouffante,ainsi il trouve un chemin de traverse. Il a feutre à bout de bras ;
- le directeur marche « avec beaucoup de dignité sans un geste inutile ». il ne se préoccupe pas de gouttes de sueur qui perlent sur son front ;
- l’employé des pompes funèbres demande à Meursault si le cadavre dans le cercueil est sa mère. Il s’essuie le crâne avec un mouchoir et soulève le bord de sa casquette avec sa main droite.
Style et contenu :
Ce texte est soit narratif que descriptif,parce qu’il y a soit la description des personnages ( Pérez,le directeur,l’employé des pompes funèbres) et du paysage que des dialogues.
Le texte ne suit pas un plan précis parce qu’il s’agit d’une description instinctive,le narrateur décrit immédiatement ce qu’il voit ou pense afin que le lecteur puisse s’identifier au protagoniste.
L’atmosphère est grave,on peut remarquer que le narrateur insiste sur la chaleur accablante pour souligner le détachement de la doleur pour la perte de sa mère.
Meursault est en effet,plus intéressé au milieu environnante qu’a sa souffrance intérieure. Tout fois l’auteur veux nous transmettre l’atmosphère que l’on respire avec l’évocation de couleurs sombres (par exemple le noir du goudron et du convoi funèbre) en opposition aux couleurs claires du ciel et du soleil et la répétition des mots qui évoquent le macabre comme l’employé de pompes funèbre et le convoi funèbre.
En outre dans ce texte il y a un bref dialogue à travers le quel on s’aperçoit que le narrateur ne veut pas nous déclarer ses sentiments et il préfère rester seul.
Tout donne une impressionne d’absurde parce qu’il est inconcevable une personne qui ne souffre pas pour la perte de sa mère.
L’importance du paysage :
Une particularité intéressante est représentée par le paysage,qui se présente en fort contraste avec la situation environnante.
Le soleil inonde la campagne avec ses rayons broulant et partout il retentit « chant des insectes et de crépitements d’herbe ».
L’éclat du ciel est insoutenable et il fait « éclater le goudron ».
Il semble une situation quotidienne mais il n’est pas ainsi parce qu’il y a un enterrement.
CHAPITRE 5
DIALOGUE ENTRE MEURSAULT ET SON PATRON
L’employé Meursault
Avant tout,l’employé Meursault pense être un bon emplyé parce qu’il se préoccupe de ne pas perdre de temps pendant qu’il est en train de travailler. Malgré tout il s’attend à être reproché par son patron. En effet Meursault manque de sécurité et il craint de ne pas faire un bon travail.
Pour cette raison il pense : « j’ai été ennuyé parce que j’ai pensé qu’il allait me dire de moins téléphoner et de mieux travailler ».
Le patron a une bonne opinion de son employé et pour cette raison il lui propose de diriger un bureau à Paris. Mais il est un peu décu de la réponse de Meursault lequel ne veut pas changer sa vie.
En ce qui concerne sa personnalité,Meursault a une attitude humble devant son patron,comme nous pouvons remarquer dan les passages suivants :
- « J’ai dit que oui ma que dans le fond cela m’était égal »
- « Je suis retourné travaiiler alors »
- J’aurais préféré ne pas le mécontenter ».
Le patron
Le patron de Meursault a l’intention d’installer un bureau à Paris qui traterait avec les grandes compagnies. Telle vie permettrait de vivre à Paris et de travailler et elle devrait être la vie idéale pour un jeune comme Meursault.
En outre,il croit que la vie d’un jeune employé devrait être caractérisée par l’ambition, élément nécessaire pour améliorer les affaires.
Le patron n’impose pas ses décisions,mais il veut seulement savoir les opinions de ses employés et en effet il imagine que Meursault accepte sa proposition. Mais il est déçu parce que Meursault n’accepte pas d’aller à Paris et il manifeste sa décepton avec un air mécontent et en disant que Meursault n’avait pas d’ambition.
En outre, le patron n’a ni nom ni visage comme,dans la même façon n’avait ni nom ni visage le concierge de l’asile ;en effet Meursault ne considère pas ces gens comme personnes bien définies,mais en fonction de leur travail.
L’indifference
La proposition faite par le patron représente pour un employé l’opportunité de changer de vie,la possibilité d’avoir sucés dans les affaires et l’occasion de gagner beaucoup d’argent. Mais tout cela n’est pas important pour Meursault,qui reste complètement indifférent. Et la manifestation la plus significative de son indifférence est la phrase : « J’ai dit que oui mais que dans le fond cela m’etait égal », qui dénote aussi que le protagoniste n’a ni desirs,ni besoins particuliers.
Meursault n’est pas intéressé à la proposition de son patron pour plusieurs raisons :
- il n’a pas d’ambition
- il n’est pas intéressé à un changement de vie,parce que la sienne ne lui déplait pas du tout
- il se contente de sa quotidianité
Tputes ces raisons ne sont pas acceptables pour le patron,parce qu’il pense que la vie d’un jeune employée doit être pleine non seulement d’ambition mais asussi de voyages et de changements.
Au contraire,il aurait pu admettre des raisons qui concernet le milieu familier ou des raisons de santé.
L’attitude indifférente de Meursault nous porte à nous interroger sur ce qui concerne sa satisfaction et ses sentiments. Probablement il est satisfait parce qu’il se contente de ce que la vie lui offre : on ne comprende pas s’il est heureux ou pas,il semble plutôt indifférent.
Donc l’attitude de Meursault n’est ni négative ni positive : en effet,quand il parle de ce qu’il pense ou de ce qu’il éprouve il reste toujours vague,sans nous donner des informations trop précises sur lui même.
L’indifférence et la personnalité de Meursault s’opposent au dynamisme et à l’attitude de son patron,et nous pouvons les décrir avec ces adjectives :
MEURSAULT PATRON
Indifférent ambitieux
Détaché enthousiaste
Humble sûr de lui
Donc Meursault et son patron ont deux attitudes différentes et presque opposées,mais au même temps ils réussisent à se comprendre parce qu’ils s’acceptent l’un l’autre.
Le scepticisme :
Meursault n’a pas toujours été indifférent à l’action,à l’argent, à l’ambition ; en effet quand’il était étudiant il avait beaucoup d’ambitions de ce genre. Mais quand il a dû abandonner ses études il a trés vite compris que « tout cela était sans importance réelle ».
Dans cette question il est important aussi l’image que les autres ont de Meursault : le patron,comme le directeur de l’asile,lui disent « vous êtes jeune »,mais l’image qu’ils se font d’un jeune employé ne ressemble pas à celle que nous donne Meursault. En effet le style de vie conduit par la protagoniste n’est pas celui d’un jeune homme commun,mais plutôt celui d’un homme sérieux et expérimenté.
Le récit :
En ce qui concerne la syntaxe et le style :
- la majorité de phrases courtes
- le rythme est morcelé
- il y a l’utilisation de la subordination
- la coordination est presque absente
- les phrases sont caractérisées par le polysyndète
en outre,en ce qui concerne la forme, Neursault raconte à la première personne pendant tout le récit,mais en réalité il est sourtout spectateur, parce qu’il ne participe pas aux événements qui lui arrivent. Il est passif,sans ambitions et il est subordonné à son destin,que Meursault ne cherche pas à changer.
Commentaire :
L’apparence de gentillesse et d’honnête que Meursault donne,n’est pas sa vraie attitude,mais elle représente seulement le fait qu’il est indifférent et détaché de la réalité : il est.en effet, un « étranger ».
MEURSAULT ET L’AMOUR
Meursault est étranger envers l’amour,Marie et les autres personnes.
Il est un homme vide,qui n’a pas de sentiments. Face à Marie il exrime un sentiment de faute,parce-qu’il ne portage pas les sentiments de Marie.
Le réaction de Marie à l’indifférence de Meursault :
Dans un premier moment Marie veut découvrir si Meursault l’aime. Elle lui pose beaucoup de questions. Quand elle comprende que Meursault n’est pas si loquace répondant à ses questions, elle rigole et tende sa bouche vers lui.
Par le mos de Camus on comprende que Meursault est un homme très indifferent à tout ce qui lui arrive. Entre Meursault et Marie il y a une situation d’incommunicabilité.
Contenu :
- Marie a demandé à Meursault s’il voulait se marrier avec elle ;
- Marie lui pose beaucoup de questions pour découvrir s’il l’aime ;
- Meursault est très indifférent à tout ce qui lui arrive
- Marie rigole et tend sa bouche vers lui.
Style :
- Les phrases sont courtes,mais il y aussi des subordonnées
- Le rythme est morcelé
- Le narrateur,qui est aussi le protagoniste du roman, n’exprime pas ses emotions
- Le style est concis,bref et synthétique
- Le temps verbal utilisé est le passé composé.
CHAPITRE 6
LE MEURTRE
Contenu:
- Meursault va à la plage et il rencontre l’Arabe.
- Meursault perd sa raison à cause de l’effet du soleil.
- Meursault tue l’Arabe.
Meursault, Raymond et sa femme sont invités à la mer par Massou,un ami de Raymond.
Après un premier bain de mer les trois hommes vont se promener sur la plage.
En se promenant ils trouvent deux Arabes. Une bagarre éclate et Raymond est blessé d’un coup de couteau au bras. Une fois soigné Raymond veut retourner sur la plage et Meursault le suit.
Il retrouve les deux Arabes,étendus près d’un source.
Raymond sort un revolver. Meursault lui demande de le lui donner pour éviter qu’il ne tire sans avoir été provoqué. Les deux Arabes s’en vont.
Raymond soulagé retourne au cabanon avec Meursault. Il fait très chaud,la lumière est intense et aveuglante. Meursault décide de retourner près de la mer et de la source.
En voyant l’Arabe,Meursault se sent cruellment attaqué par lui;en effet,le reflet du soleil provoque en Meursault une fausse idée de l’arme.
Sous l’effet du soleil et de la lumière éblouissante il perd le control de lui-même.
Il n’est pas capable d’utiliser la raion et le meurtre de l’Arabe est una action involontarie,causée par la “maladie intérieure” de Meursault.
Cette action est absurde comme absurde est sa vie. Dans ce passage le changement de la nature est le tournant du roman.
Meursault réagit à ce signe de la nature involontairement,en touchant la gâchette du revolver.
Comme Sisyphe,Meursault est le héros de l’absurdité. Cette action est absurde comme absurde est sa vie.
Le soleil:
- écrasant
- s’opposait à lui- même
- gagne ses joues
- souffle êpais et ardent
- lasse pleuvoir du feu
Le soleil joue un rôle important dans l’histoire et il y a une augmentation progressive de sa partecipation dans la psychologie du protagoniste.
En effet,au début le soleil est presenté d’une façon réaliste,à la fin il devient le miroir de l’état d’âme du personnage. En autre,il faut remarquer l’ambivalence de l’influence à la fois bénéfique et violente du soleil sur l’individu.
Le meurtre:
- conséquence de l’irrationalité de Meursault
- destruction de l’équilibre de sa vie
le meurtre de l’Arabe est l’expression la plus forte de l’irrationalit de Meursault.
Il est la conséquence des effets que la lumière et la brûlure du soleil ont sur lui.
Le premier coup est l’expression de l’irrationalité mais les autres quattre coups représentent la résignation et l’acceptation de son destin absurde.
DEUXIÈME PARTIE
CHAPITRE 3
Nous avons choisi d’analyser le texte avec la citation de 4 phrases qui expliquent au mieux le contenu,le temps de la narration,la psychologie des personnages et leurs sentiments.
1) « Je peux dire qu’au fond l’été a très vite remplacé l’été »
(phrase d’ouverture du chapitre).
Le crime s’est passé pendant l’été et dans ce chapitre le protagoniste apprend que son procès se passera pendant l’été.
Donc le temps passé en prison semble être inesistant et sans aucun sens parce que rien ne s’est passé : en effet le roman a une structure cyclique parce que tous les événements le plus importants se passent pensant la même temps de l’année.
2) « Si j’avais le trac »
L’état d’âme du protagoniste est indifférent et serein, mais au même temps,plein d’espoir parce qu’il est conscient qu’il y a quelche chose qui est finalement en train de se passer.
En effet,dans le dialogue avec le gendarme,il affirme de ne pas savoir « le trac »,mais il est aussi excité parce qu’il peut voir un procès pour la prèmiere fois.
3) « être de trop, un peu comme un intrus »
L’accusé affirme de se sentir « de trop », comme un « intrus » au procès qui doit le juger.
Ce sentiments est souligné par les expressions :
• J’étais un peu etourdi
• Je ne m’étais pas rendu compte
• D’habitude les gens ne s’occupaient pas de ma personne
4) « Il n’est pas venu pour vous »
En suite,pour augmenter le sens d’étrangeté de Meursault,l’auteur décrit l’indifférence des journaux qui sont plus interessés au procès du parricide,le quel sera jugé le landemain.
Le temps :
• Juin
• Soleil : lors du procès on est en juin,donc on est en été. La salle du procès est pleine de soleil et de personnes
• L’air est étouffant comme le jour du crime
• Encore une fois le temps et la description del lieu soulignent l’état d’ âme du protagoniste
Syntaxe :
L’utilisation de phrases très courtes et simples, avec une coordination parataxique rend l’idée qu’il s’agit des pensées du personnages.
CHAPITRE 5
L’ATTENTE DE LA MORT
Les personnages de ce passages sont Meursault et l’aumônier,le quel donne un sens à la vie, parce qu’il croit en Dieu.
Ce passage s’ouvre avec Meursault qui pense à la mort,en attendent sa condamnation. Meursault reçoit la visite de l’aumônier et ils disputent sur ce qui concerne Dieu et la foi religieuse,mais le protagoniste n’a aucun intérét envers cet argument. En effet il montre son indifférence vers Dieu et vers la mort pour dissimuler sa peur de mourir,parce qu’il n’est pas capable de trouver un sens à sa vie. A ce point l’aumônier cherche à convertir Meursault,pour qu’il voie la lumière divine,mais il refuse et,de cette façon,il affirme son athéisme. Il admet de n’avoir plus d’espoirs dans la vie et de penser seulement à la mort. Il est en train de chercher un sens à la vie, même à travers le souvenir du visage de Marie,un visage plein de flamme et de desir.
Donc,on peut dire que Meursault a cherché en vain le sens de sa vie dans les passions malheuresement les passions se dissipent.
Meursault ne veut pass se convertir,parce qu’il me veut pas perdre la peu de temps qui lui reste à parler de Dieu.
L’aumônier continue dans le tentative de convertir le protagoniste jusqu’à provoquer une réaction agressive en lui. Il révèle à l’aumônier le fond de sa pensée : il est convaincu d’avoir vécu une vie et de devoir affronter la mort. Elle arrive comme un souffle obscur qui jette l’absence de sens sur la vie qu’il a conduit. Pour Meursault cette réalité est la seule chose importante. En effet on ne peut pas donner d’importance à ce qui s’est passé en vie,parce que la mort égalise tous les destins.
Avec l’apaisement qui le gagne,Meursault s’associe à la paix de la nature et à l’harmonie du monde. Cette communion est exprimée par la phrase « la merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée ».
A son réveil le narrateur commence à prendre note de ce qui l’entoure,il entre en contact avec la nature. Cette nouvelle sensibilité est exprimée clairement par la comparaison avec la marée : celle-ci symbolise les caractéristiques purement perceptibles et sensibles de la nature (vision des étoiles, odeurs de la nuit,bruits de la campagne). L’âme du narrateur est plongèe dans la nature qui lui transmet sa propre énergie vitale ;le narrateur vit ce contact avec la nature de façon passive : en effet l’âme de Meursault est prête à accueillir cette expérience. Comme la marée baigne lentement la plage,les merveilleuses sensations de paix que lanature lui donne entrent dans son âme jusqu’à la dominer complètement.
Au début Meursault semble comme indifferent au thème de la mort,qui est considérée de façon absurde,parce que tous les hommes sont liés par un seul et même destin,indépendamment du comportement tenu en vie. Au contraire,la nature réussit à lui transmettre une sensation de paix,calme et tranquillité. Alors il commence à considérer la mort comme la destination finale du cycle de la nature. Il pense qu’il ne faut pas pleurer la mort des parents,dans ce cas celle de sa mère,car,maintenant il réussit voir au-délà du mystère de la mort. En outre,il croit que sa mère,comme lui,au seuil de la mort devait se sentir libérée,heureuse au contact avec le monde et prête à tout revivre. Cette conception exprime son attachement à sa mère et à la vie.
Meursault retrouve la joie de vivre grâce à la lucidité qu’il recouvre pour affronter son destin. Tout d’abord il cherchait à échapper de la pensée de ce qui l’attend, c’est-à-dire la mort.
Il semble indifférent à la mort,mais en réalité cette indifférence cache une profonde angoisse.
Après il affronte son problème grâce à la visite de l’aumônier,il s’affranchit de ses peurs en lui révèlant le fond de sa pensée,donc il retrouve la lucidité pour affronter ce qui l’attend.
Cette lucidité lui permet de se sentir plus libre,prêt pour s’ouvrir à la « tendre indifférence du monde » et prêt pour accueillir son destin.
Le dernier défi lancé par Meursault consiste à se souhaiter qu’il y ait beaucoup de personnes à son exécution bien qu’elles ne l’aient jamais compris,parce qu’il ne veut pas rester seul. En effet,pendant sa vie,il s’est senti toujours différent des autresà cause de son amour pour la vie,loin des conventions sociales. Par exemple,au contraire de ce qui passait selon la commune mentalité sociale,il croyait qu’il ne faille pas pleurer la mort des propres parents. Mais à la fin de sa vie, grâce à la révolte qui crève en lui,il accepte la réalité et les conventions sociales.
Au seuil de la mort Meursault réussit à trouver un nouveau sens à la vie. Au début son âme est doninée par un sentiment d’indifférence vers le monde et par un sens de l’absurde,mais en suite il fait une révolte. En effet il apprend à accepter et aimer la vie comme elle est et il comprend que tous les hommes sont liés par la même destin,c’est-à-dire la mort. De cette façon Meursault retrouve la paix,la calme et la sérénité intérieures. Donc son attachement à la vie est exprimé par une communion silencieuse et profonde avec le monde.

Esempio