Caricatura e critica del potere sotto il secondo impero

Materie:Appunti
Categoria:Francese

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Caricature et critique du pouvoir sous le Seconde Empire
Sous le Seconde Empire beaucoup de personnalités très importants de la France de celle âge attachait férocement l’empereur avec une très forte, pressant et piquant critique littéraire et satire graphique.
Victor Hugo (né à Besançon en 1802, meurt à Paris en 1885), le célèbre auteur de plusieurs romans attachait Napoléon III dans deux ses œuvres, « Napoléon le petit »(1853) et « Les châtiments »(1853). L’œuvre de Victor Hugo circulait clandestinement en France pendant son exile en Angleterre, qui va de 1851 à 1870. Ce sont la corruption du régime et la faiblesse de l’empereur les 2 thèmes principaux de l’ouvre de Hugo, qui nous trouvons dans le documents 1-3-5, des petit pièces extraits par ces déjà cités ouvres.
Un autre auteur de satire c’est Henri Daumier qui était devenu déjà fameux pendant la période de la monarchie de Juillet. Le document 6 c’est un des ses dessins qui montre l’aigle impériale écrasée au sol : les documents 2-4-6 sont des documents iconographiques finalisés à se moquer du régime.

La petitesse physique et morale de l’empereur sont objet de critique e satire ; c’est ridicule comme est souligné que Napoléon III, pour masquer sa petitesse, cherche à ressembler à son oncle, le grand Napoléon I.
Dans le première document il y a tous le mépris Hugo qui souligne comme Napoléon, qui en Angleterre vivait d’expédientes ne soit pas différent par celui qui est aujourd’hui à la guide de l’empire, qui malgré ses pouvoirs et ses richesses il reste « Napoléon le petit… ». Napoléon conscient de cette petitesse aux yeux des français cherche à ressembler a Napoléon I : mais c’est inutile, la satire du document numéro 2 lui conseille de changer son chapeau avec un autre bonnet de nuit. Le chapeau qu’il porte c’est trop lourd pour lui : c’est poids morale, qui peut être liés aux grands performances de son oncle, et aussi matérielle, comme son corps enfantin ne peut pas le soutenir. La démolition du symbolisme impériale et napoléonien continue dans le document 3 où l’aigle devient perroquet et le lion singe : Hugo est presque incrédule de remarquer comme Napoléon, bien qu’il soit sans aucun valeur morale, aie pu faire de la France sa proie(« Se faire de la France une proie, grand Dieu ! Ce que le lion n’eut pas osé, la singe l’a fait ! »).
Les document 4 c’est un recueil de dessins qui représentent les nombreuses échecs de la politique impériale, de la guerre du Mexique, terminée après 4 ans avec des résultats lamentables, à la à la recherche de l’or en Californie. Napoléon peut vivre seule grâce à la gloire de son antennate.
Le document 5 c’est un extrait de « les châtiments » qui à le but de montrer la pâleur de Napoléon le petit qui c’est seulement une imitation du grand Napoléon I : il n’a aucun des valeur morales de son oncle et il n’a pas la dignité de se détacher de cette figure, pour son attachement au pouvoir et pour son gout du complot.
La critique ne touche pas seulement l’empereur mais aussi son opéré d’aucun valeur, son Empire, son Sénat et la Constitution qui ne sont q’« une chimère destinée à s’effacer ». La dénonce de la corruption du gouvernement est évidente dans le document 4 qui fait de tous le ministre du Conseil d’Etat des caricatures, des acteurs dans un théâtre qui récitent une rôle bien défini dans le plain criminel de l’empereur, dont seul but c’est maintenir le pouvoir dans ses main pour satisfaire sa soif. Le plain criminel est exposé dans le dessins des oies qui laissent l’œufs dans la soupière électorale, symbole de la criant manipulation des élections. Tous le ministres sont en train de danser un valser, symbole de l’instabilité du gouvernement qui ne réussit pas à contrecarrer l’opposition en manier solide.
Dans « Les châtiments » Hugo accuse le seconde empire d’être dirigé non pas vers la gloire et le bien commun de la nation mais plutôt vers la satisfaction personnelle des désirs de Napoléon, un personnage mauvais, mesquin et néfaste.
L’aigle impériale c’est donc peu approprié pour un personnage comme le petit Napoléon, elle porte le souvenir des temps de gloire quand l’Empire était quelque chose de bien voulu e bien vue par la population. Mais le sentiments vers l’état et tous ses symboles, ses représentants et ses institutions sont beaucoup changé avec le seconde empire : la corruption a crée des mécontentements et ainsi la satire a donné seulement le coup de grâce à un gouvernement voulu seulement par ses protagonistes. L’aigle est rachitique et situé impitoyablement au sol, écrasé par la honte d’un état dépravé et par la satire politiques de « les châtiments ».

Malgré la censure de presse la satire frappe le régime avec force dans toute sa faiblesse et souligne tous les erreurs politique et échecs militaires qui se succèdent. Donc la chute de l’Empire et la naissance de la troisième république sont la fin plus naturelle en 1870 après la défaite contre le prussiens, un fin qui Victor Hugo, Henri Daumier et tous les autre opposants avaient déjà désiré et prévue de beaucoup de temps.

Caricature et critique du pouvoir sous le Seconde Empire
Sous le Seconde Empire beaucoup de personnalités très importants de la France de celle âge attachait férocement l’empereur avec une très forte, pressant et piquant critique littéraire et satire graphique.
Victor Hugo (né à Besançon en 1802, meurt à Paris en 1885), le célèbre auteur de plusieurs romans attachait Napoléon III dans deux ses œuvres, « Napoléon le petit »(1853) et « Les châtiments »(1853). L’œuvre de Victor Hugo circulait clandestinement en France pendant son exile en Angleterre, qui va de 1851 à 1870. Ce sont la corruption du régime et la faiblesse de l’empereur les 2 thèmes principaux de l’ouvre de Hugo, qui nous trouvons dans le documents 1-3-5, des petit pièces extraits par ces déjà cités ouvres.
Un autre auteur de satire c’est Henri Daumier qui était devenu déjà fameux pendant la période de la monarchie de Juillet. Le document 6 c’est un des ses dessins qui montre l’aigle impériale écrasée au sol : les documents 2-4-6 sont des documents iconographiques finalisés à se moquer du régime.

La petitesse physique et morale de l’empereur sont objet de critique e satire ; c’est ridicule comme est souligné que Napoléon III, pour masquer sa petitesse, cherche à ressembler à son oncle, le grand Napoléon I.
Dans le première document il y a tous le mépris Hugo qui souligne comme Napoléon, qui en Angleterre vivait d’expédientes ne soit pas différent par celui qui est aujourd’hui à la guide de l’empire, qui malgré ses pouvoirs et ses richesses il reste « Napoléon le petit… ». Napoléon conscient de cette petitesse aux yeux des français cherche à ressembler a Napoléon I : mais c’est inutile, la satire du document numéro 2 lui conseille de changer son chapeau avec un autre bonnet de nuit. Le chapeau qu’il porte c’est trop lourd pour lui : c’est poids morale, qui peut être liés aux grands performances de son oncle, et aussi matérielle, comme son corps enfantin ne peut pas le soutenir. La démolition du symbolisme impériale et napoléonien continue dans le document 3 où l’aigle devient perroquet et le lion singe : Hugo est presque incrédule de remarquer comme Napoléon, bien qu’il soit sans aucun valeur morale, aie pu faire de la France sa proie(« Se faire de la France une proie, grand Dieu ! Ce que le lion n’eut pas osé, la singe l’a fait ! »).
Les document 4 c’est un recueil de dessins qui représentent les nombreuses échecs de la politique impériale, de la guerre du Mexique, terminée après 4 ans avec des résultats lamentables, à la à la recherche de l’or en Californie. Napoléon peut vivre seule grâce à la gloire de son antennate.
Le document 5 c’est un extrait de « les châtiments » qui à le but de montrer la pâleur de Napoléon le petit qui c’est seulement une imitation du grand Napoléon I : il n’a aucun des valeur morales de son oncle et il n’a pas la dignité de se détacher de cette figure, pour son attachement au pouvoir et pour son gout du complot.
La critique ne touche pas seulement l’empereur mais aussi son opéré d’aucun valeur, son Empire, son Sénat et la Constitution qui ne sont q’« une chimère destinée à s’effacer ». La dénonce de la corruption du gouvernement est évidente dans le document 4 qui fait de tous le ministre du Conseil d’Etat des caricatures, des acteurs dans un théâtre qui récitent une rôle bien défini dans le plain criminel de l’empereur, dont seul but c’est maintenir le pouvoir dans ses main pour satisfaire sa soif. Le plain criminel est exposé dans le dessins des oies qui laissent l’œufs dans la soupière électorale, symbole de la criant manipulation des élections. Tous le ministres sont en train de danser un valser, symbole de l’instabilité du gouvernement qui ne réussit pas à contrecarrer l’opposition en manier solide.
Dans « Les châtiments » Hugo accuse le seconde empire d’être dirigé non pas vers la gloire et le bien commun de la nation mais plutôt vers la satisfaction personnelle des désirs de Napoléon, un personnage mauvais, mesquin et néfaste.
L’aigle impériale c’est donc peu approprié pour un personnage comme le petit Napoléon, elle porte le souvenir des temps de gloire quand l’Empire était quelque chose de bien voulu e bien vue par la population. Mais le sentiments vers l’état et tous ses symboles, ses représentants et ses institutions sont beaucoup changé avec le seconde empire : la corruption a crée des mécontentements et ainsi la satire a donné seulement le coup de grâce à un gouvernement voulu seulement par ses protagonistes. L’aigle est rachitique et situé impitoyablement au sol, écrasé par la honte d’un état dépravé et par la satire politiques de « les châtiments ».

Malgré la censure de presse la satire frappe le régime avec force dans toute sa faiblesse et souligne tous les erreurs politique et échecs militaires qui se succèdent. Donc la chute de l’Empire et la naissance de la troisième république sont la fin plus naturelle en 1870 après la défaite contre le prussiens, un fin qui Victor Hugo, Henri Daumier et tous les autre opposants avaient déjà désiré et prévue de beaucoup de temps.

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