Madame Bovary, Flaubert

Materie:Scheda libro
Categoria:Francese

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Data:24.04.2007
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Testo

MADAME BOVARY
De Gustave Flaubert (1821-1880)
Le roman est constitué des trois parties : la première est de neuf chapitres ; la deuxième, la plus longue est de quinze ; la troisième enfin, celle conclusive, de dix.
Pour réaliser Madame Bovary, Flaubert s’inspire d’un fait divers, l’histoire d’un médecin normand dont la femme s’est empoisonnée.
Charles Bovary, garçon de campagne et écolier médiocre, réussit avec difficulté à devenir officiel sanitaire, degré inférieur à celui de médecin. Il va à vivre à Tostes, et sa mère l’oblige à épouser une laide veuve, plus vieille que lui, mais riche.
Emprisonné dans sa triste vie matrimoniale, Bovary trouve quelque distraction dans les visites aux malades et en particulier prés de Monsieur Roualt, un de les plus aisés cultivateurs de Rouen, où il connaît et il tombe amoureux de la fille Emma, dame qui pourra épouser après la soudaine mort de sa femme.
Désireuse d’abandonner un milieu qu’elle hait, profondément influencé par ses lectures romanesques dont elle finit par être victime ; elle cherche dans le mariage une possibilité d’évasion mais sa nouvelle vie se révèle bientôt décevante ; elle la définit « plate comme un trottoir de rue ».
Après le mariage avec Charles la vie conjugale prend son rythme fait de rituels répétitifs qui ennuient rapidement la femme. Les mots "bonheurs" "amour" "ivresse" sur lesquelles Emma avait soupiré et qui lui étaient semblés belles dans les romans lus en couvent, lui se montrent maintenant "trompeurs et dépourvues de sens".
Un fait inattendu coupe le brouillard de la routine conjugale : l'invitation à un bal chez le marquis d'Andervilliers. Pendant les peu d'heures passées dans le milieu riche et raffiné du château Emma respire l'air à elle plus congéniale. Rentrée du grand évènement du bal, Emma tente de se construire une vie fictive des luxes et des amusements, ainsi elle tente de vaincre l'ennui.
Voyant l’état de dépression dans lequel se trouve sa femme enceinte, Charles quitte son village pour s’installer à Yonville-l’Abbaye, mais la situation ne s’améliore pas. Emma se sent étouffer dans cet univers fermé.
Dans cette nouvelle ville, en attente de se caser dans la nouvelle maison les Bovary logent dans une auberge où ils rencontrent le monsieur Homais et le jeune Léon, avec lequel on entre dans le vif du thème central du livre : L’adultère.
Emma un jour rencontre Léon qui demande de l'accompagner ; elle est plus est intéressée à la cour du beau jeune qu’à la présence de la nouveau-née qui l'ennuie.
Emma pour virtuosité ne se donne pas à Léon et déteste le mari et la fille, ainsi pour se consoler, elle commence à faire des acquisitions qu'ils satisfont sa vanité et je goûte pour l'exotique, comme il avait fait en jeunesse avec les lectures. Léon cependant est parti.
Avant la disparition de Léon, elle rencontre Rodolphe Boulanger, gentilhomme habitué à séduire et à quitter promptement les femmes : Madame Bovary succombe et va vivre cette passion avec exaltation et frénésie.
Les mots de l'homme sont faux et de mauvais goûte mais Emma ne s'en aperçoit pas : c’est comme s'il tombait dans un des ses romans d’amour dont elle a rêvé d'être le protagoniste.
La relation entre les deux résiste ; elle é sentimentale, obsessionnelle et indiscrète. Il est vulgaire, ennuyé et froid. Elle lui impose la fuite. Il prend temps, feint d'accepter mais il pense par contre aux ennuis, aux dépens et il lui envoie une corbeille d'abricots avec un message caché, dans le style plus faux : "Courage ; Emma, courage ! Je ne peux pas provoquer la ruine de votre existence... ".
En suit, Emma atterrée, tombe gravement malade et son mari après qu’elle s’est rétablie, l’emmène à Rouen pour un spectacle où elle y revoit Léon.
Les deux se revoient en église, elle est décidée à lui dire adieu, mais elle reste bouleversé par les mots justes qu'il sache utiliser pour faire de la brèche dans son cœur :
Même Léon sait employer le style du roman d’amour. Encore une fois, Emma tombe dans la trappe du roman d’amour.
Elle se laisse séduire par lui et, sous le prétexte de leçons de piano, se rend de plus en plus souvent à Rouen pour l’y retrouver.
Mais Emma commet des imprudences ; elle s’endette auprès d’un usurier à l’insu de son mari. Les Bovary sont menacés de saisie et de ruine.
Emma devant la demande dernière de souder l'énorme dette qu’elle a contractée avec le marchand usurier Lheureux, s'abaisse jusqu'à se proposer à lui. Elle n'obtenant rien et fait appel aux ses ex : Léon,
Rodolphe, et même au notaire Guillaumin dont elle va comme dernier berge.
En plus, Emma est déçue par ses histoires d’amour et à la fin, elle se procure de l’arsenic et se suicide.
Elle croit mourir vite, par contre son agonie est très longue et terrible. Au chevet de la moribonde arrive le prêtre qui lui oint avec l’huile sainte les parties du corps qui plus avaient touchées avec le péché : la bouche, les mains, les narines. Après la mort de sa femme, Charles apprend les infidélités de Emma, perd goût à la vie ; il dépérit et il meurt.

EMMA BOVARY : protagoniste du roman, c’est une jeune femme des longues et lisses à cheveux noirs et des yeux entourés par des épais cils. C’est la fille d'un agriculteur aisé, c’est une femme de campagne qui rêve une vie mondaine et mouvementée, amante de Paris et de la vie aristocratique.
En épousant Charles, Emma, il espère réussir à évader de la vie de campagne que ne la fait pas sentir réalisée, mais malheureusement arrivée à la maison Bovary elle se retrouve à devoir lutter avec une grande anxiété intérieure et se sent enroulé dans un état d'ennui total.
Emma a une vision de l'amour qui s’affronte inévitablement avec la réalité et elle reste enfermée dans son monde de rêveuse pareille à ce qui faisait d'acclimatation à ses lectures.
Jusqu’à l'enfance elle s'est nourrie de mielleux romans, qui lui ont construit un monde invraisemblable, pétri des violentes et furieuses passions, qui alimentent sa fantaisie. Emma donne épanchement à sa convoitise de mondanité, de célébrité, d'amours, de fêtes en se noyant dans les lectures qui sont étées cause mais même "cure" de son ennui, et de sa façon de vivre insatisfaite.
Commence, ainsi, à prendre pied la rébellion intérieure d'Emma qui cherche à redonner un sens à sa vie ; ça ne le réussit pas avec la maternité parce qu'incapable de se reconnaître dans le rôle de mère. On ne la peut pas définir épouse car elle cherche toujours l'amour d'un homme différent, un amour qu'aucuns de ses nombreux amants réussit à lui donner.
Emma représente le symbole d’adultère, un personnage complexe et contradictoire.
Dans sa vie elle ne réussit pas à faire confirmer ses désirs et tout ce qu’elle obtient ne lui semble qu'une nullité en comparaison au bonheur des autres, cause de son malheur.
On peut la peindre comme un personnage négatif qui représente une société ennuyée qui vit dans l'espérance de réaliser des rêves qui s'éloignent de la réalité.
À la fin Emma vide de ses illusions et du songe de l’amour romantique, se laisse tomber dans un état de dégradation intérieure qui la porte, ensuite, au suicide.
CHARLES BOVARY : il est un autre des personnages principaux du roman ; au début il est décrit comme un garçon de campagne et un écolier médiocre avec les cheveux coupés nets à frange sur le front et avec une expression douce, plutôt gêné ; il réussit avec difficulté à devenir officiel sanitaire, degré inférieur à celui de médecin, vu qu'il lui coûte à grande fatigue établir un contacte avec la société.
C’est un homme très tranquille et concret, ça est démontré par les gestes qui il fait, par l'habillement et les mots ; la tendance à adhérer au conventionnalisme est une de ses caractéristiques que cependant la condamne à l'incapacité de se connaître et à la négation de soi-même.
Après le mariage avec Emma, Charles, se retrouve dans un état de soumission et de servilisme, il retient ses sentiments, n'a pas des éclatements ou imprévus bonds d'humeur mais, au contraire de sa femme, il se montre un père vertueux et un mari fidèle.
Le pauvre Charles se révèle à la fin un authentique héros amoureux, sans des phrases romantiques ou vêtements de luxe, sans déclenchements de voix, vraiment pour ça il semble touchant et persuasif.
La mort de sa femme par lui beaucoup aimée, représente une fracture énorme dans le cœur, que le fait tombé dans un état de dépression et de douleur qui le portent, ensuite, à une mort triste et silencieuse.
HOMAIS : le pharmacien de Yonville, il recouvre un rôle important dans le roman ; il est un homme tranquille et content de soi-même et de sa façon de vivre, il a les idées bien claires ; en effet il a foi dans le progrès et croit que sera nécessaire marcher au pas avec les temps, il est d’ailleurs toujours prêt à émettre des sentences en comparaison des autres en se retenant toujours de la partie du juste.
Il croit de posséder un grand savoir scientifique.
LEON DUPUIS : c’est l’authentique protagoniste à côté d’Emma et Charles, employé chez le notaire, il est le premier dans les amants de la femme.
Il semble, au début, comme un jeune homme timide, malicieux et romantique.
Léon voit en Emma l'amant de chaque roman, l'héroïne des touts drames en la réduisant à une page blanche sur laquelle pouvoir écrire ses désirs en niant la réalité.
RODOLPHE BOULANGER : c’est un des amants d'Emma, il est propriétaire de campagne, avec le tempérament brutal et l’intelligence fine, amant des femmes.
C’est un homme mûr de 34 ans qui bénéficie d'une rente considérable, il s’habille dans une façon négligée et recherchée qui révèle un certain anticonformisme et une tranchée originalité.
Il est intelligent et sans préjuges, il agit sur Emma avec romantisme et audace, pour puis, satisfaites ses envies, s’en débarrasser.

L'événement se développe dans le 1800 dans le milieu provincial de la Normandie, à l'intérieur d'une classe sociale petite - bourgeoise, caractérisée par l'auteur avec extrême précision.
L'histoire est située en lieux et temps bien définis, au début on se trouve à Tostes, pour ensuite se déplacer à Yonville, citadine plus ouverte et mouvementée de la précédente, où se développe la majeure partie du roman. Rouen est un autre des lieux plus significatifs, où Emma se retrouve à augmenter le rapport avec Léon.
Donc les milieux sont décrits comme réels et pas imaginaires et ils
développent l'histoire de la jeunesse de Charles et d'Emma jusqu'à leur mort.
Beaucoup sont les descriptions de lieux, espaces ouverts, espaces fermés, milieux publics et non : tous font référence à des précises milieux sociaux et culturels et, en même temps, elles contribuent à les représenter.
Au-delà de qu'à la représentation des milieux, elles contribuent à cette des personnages et à leur extraction sociale.
Une caractéristique particulière est même la description des objets, qui n'a jamais une fonction décorative ; souvent, en effet, les objets ont leur histoire, ou bien ont un rôle important dans l'événement narré et, souvent, une fonction symbolique (on pense à l'image récurrente de la 'fenêtre ', dont Emma souvent est associée : elle représente le lieu de frontière entre le monde extérieur et la vie rêvée).
Les références chronologiques explicites sont très rares dans le texte ; toutefois Flaubert dissémine dans tout le roman des allusions aux événements historiques, publics et mondains, aux personnages célèbres qu'ils permettent de situer dans le temps l'événement raconté.
Autres éléments, plus liés à la vie quotidienne, permettent de situer les événements indépendantement de données chronologiques : l'habillement, le soin des nouveau-nés, l'instruction des jeunes, les transports, l'illumination et le progrès de la médicine.
L'histoire est riche aussi des rappels à l'actualité, aux problèmes politiques et sociaux.

L’œuvre de Flaubert "Madame Bovary" prends en examen des thèmes particulièrement actuels, comme par exemple l'envie d'évader de sa vie, la protagoniste poussée par des désirs irrésistibles et rêves absurdes, entre dans le tunnel de la dépression, dont elle sort en se suicidant.
Ainsi finit ainsi la vie d'une femme insatisfaite qui a employé toute sa vie à la recherche d'une condition meilleure.
La condition de vie provinciale est prise en considération dans une façon plutôt approfondie, avec son manque des distractions différentes et insolites, qui rendent sa vie monotone. Il est pour ceci qu'Emma est portée à chercher un expédiente pour fuir, même seulement pour peu de temps, de sa condition de femme épousée, puisqu'elle n'est pas considérée assez par son homme.
Le fait qu’Emma ait un amant reflète son insatisfaction, sa continue recherche d'un homme qui puisse le faire essayer des émotions nouvelles, elle recherche un homme qui efface les médiocrités de sa vie de femme mariée pour intérêt.
Son objectif est celui d'entrer dans une société des personnes aisées et prestigieuses, qui lui fassent oublier sa vie en campagne faite de travail et privations.
Emma, toutefois, semble se préoccuper les opinions des autres, en effet pour une certaine période elle cherche à fréquenter ses amants dans une façon cachée, bien qu’elle ne laisse jamais officiellement son mari.

Il y a, dans la poétique et dans les modalités d'écriture de Flaubert, des importants éléments qui rappellent aux principes du réalisme : la volonté de recueillir une documentation très précise et scrupuleuse sur l'objet à représenter à la fin de "montrer la nature ainsi comme elle est" ; l'accent posé sur la réflexion, sur l'élaboration consciente en contraste à celle romantique d'inspiration et de génie ; la théorisation de l'impassibilité, du détachement de l’écrivain- observateur en relation à la matière narrée.
Le Réalisme de Flaubert peut être schématisé en trois points principaux :
D’abord ses oeuvres sont inspirée à la réalité, en second lieu, avant d’écrire il fait un travail acharné cherchant toujours une documentation dense et précise, il dépouille les journaux et il interroge des témoins afin de donner au lecteur l’illusion d’un reportage ; enfin, en utilisant deux techniques narratives, la focalisation interne et le style indirect libre, Flaubert met au premier plan la subjectivité des personnages.
Ce dernier point, de fondamentale importance, rentre dans la soi-disant "théorie de l'impersonnalité" : l'auteur renonce aux commentaires directs, et il doit se retirer et laisser parler les faits.
Avec "Madame Bovary" décline en effet le roman fondé sur le narrateur omniscient, personnel et évident, qui dirige les fils de l'événement et intervient explicitement à expliquer, commenter, et juger.
L'originalité de Flaubert est, en effet, le choix de ne pas exprimer dans texte ses commentaires personnels, en faisant de l'impartialité un des principes fondamentaux de son écriture.
En "Madame Bovary' le narrateur se fait presque invisible, renonce aux continuelles interventions et il est, d’ailleurs, extérieur.
Sa narration est minutieuse, précise, documentée et elle construit le récit avec grande richesse des détails, sans faire filtrer aucun commentaire ou sentiment de sympathie ou antipathie pour les personnages et leurs choix.
L'événement est, de toute façon, présentée par le point de vue subjectif et partiel des personnages (Focalisation interne variable), c'est-à-dire la variation continue du point de vue : au debout et à la fin celui de Charles Bovary et dans toute la partie centrale celui d'Emma.
Les faits donc sont vus à travers l'optique du personnage, comme se reflètent dans sa sensibilité et dans son jugement. Ça crée un effet d'indétermination et ambiguïté, car on n’est jamais sur que la façon dans laquelle la perspective du personnage présente les faits soit vraiment digne de foi ou puisse coïncider avec la vision du romancier.
Flaubert avec son impersonnalité, laisse que les choses, les faits et les événements parlent, mais vraiment ça détermine un haut taux de problématique de l’interprétation.
L'impersonnalité et le style narratif de l'auteur se basent aussi sur autres importantes techniques narratives.
Entre elles on rappelle surtout : le fréquent recours au discours indirect libre, qui permet une représentation plus spontanée, pas filtrée, des discours et des pensées des personnages, en contribuant en façon décisive à la leur caractérisation objective, 'naturelle '.
Il y a intéressantes transitions d'une façon à une autre de rapporter les mots des personnages : du style direct, à celui indirect, à l’indirect libre.
Le recours à la technique du contrepoint, qui consiste dans l’alterner deux types de discours, qui n’ont pas à que voir entre eux, pour créer un effet comique ou grotesque (on lit dans le cap. VIII, le morceau de "Comices agricoles").
Outre le souci des détails et de la précision réaliste, ce qui caractérise l’œuvre de Flaubert, c’est surtout le culte de la forme.
Il cherche une logique interne de la forme et à améliorer son écriture.
En effet, il prend beaucoup de temps pour écrire et il réécrit et modifie souvent ses pages. Flaubert cherche une logique interne de la forme pour complaire aux lecteurs qui lisent ses romans en feuilleton, l’auteur présente des évènements ou des incidents imprévisibles.
Flaubert se livre à un travail rigoureux et cherche à améliorer sa façon d’écrire pour laisser à la postérité une œuvre destinée à vivre toujours.

Pour qui il lit Madame Bovary, est en effet évident que tous les hommes sont pour une raison ou pour l'autre une masse de présomptueux imbéciles ou de lâches ou de tendres enfants sans âme.
Aucun de ces hommes ne se sauve, le seul à être doué des qualités viriles c’est une femme : Emma Bovary.
Elle a donné ensuite son nom à une certaine façon de se sentir et de vivre, la pauvre femme est devenue un symbole et elle représente une façon de vivre appelée justement bovarysme.
Le bovarysme est un tumulte de désirs réprimés, des ambitions tranchées, des envies personnelles, le goûte pour le désordre, la fantaisie pour l’impossible et tracas pour le quotidien.
Le bovarysme c’est ça mais même la désolée conscience d'être ainsi et de ne pas pouvoir changer.
Le bovarysme est un état de crise psychologique et morale, un sentiment de profonde insatisfaction, d’inadaptation sociale desquelles on échappe en se réfugiant dans les rêves et la fantaisie.
C’est même une attitude psychologique qui mène à s'identifier avec des personnages fictifs, crées par la littérature, souvent excessivement banals et des simplificateurs, et que porte par conséquent à une fausse et fourvoyant conscience de soi et de la réalité.
Malheureusement, en la plupart de cas, l’éternelle insatisfaction et l’envie de quelque chose d’abstrait, que souvent le bovaryste non plus peut identifier, portent la personne à se suicider, car elle pense que ce n'est pas la peine de vivre.

Elisa Squarcini

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