Les portes Du ciel di Cesare Balbis

Materie:Riassunto
Categoria:Francese

Voto:

1.5 (2)
Download:140
Data:11.02.2009
Numero di pagine:8
Formato di file:.doc (Microsoft Word)
Download   Anteprima
les-portes-du-ciel-cesare-balbis_1.zip (Dimensione: 10.77 Kb)
trucheck.it_les-portes-du-ciel-di-cesare-balbis.doc     47 Kb
readme.txt     59 Bytes


Testo

RÉSUMÉ DU LIVRE « LES PORTES DU CIEL »
(Cesare Balbis)
Introduction au livre
Dans les premières pages du livre écrit par le commandant Cesare Balbis ,le président de l’Aéro-club d’Italie, monsieur Mairo Testa expose son opinion à propos des alpinistes et des « pilotes de montagne ».
Son idée sur ces deux catègories est que chacun des deux est capable de comprendre, aimer et surtout respecter et craindre la mantagne plus que les autres personnes.
Le lien entre la montagne et les alpinistes ou les pilotes, est quelque chose de très particulier et surtout spécial.
Puis, monsieur Testa explique que ce livre est très important pour qui à intention de s’approcher à ce monde spectaculaire. Enfin, il remercie l’auteur en rappelant une phrase du pilote valdotain Corrado Gex auquel ce livre est dédié.
Introduction de l’auteur
Dans cette partie du livre, l’auteur, Cesare Balbis explique sa passion pour le vol sportif et il dit aussi que c’est un type de sport très récent, il fait une comparaison avec d’autres disciplines sportives comme l’équitation qui sont pratiqués depuis longtemps pour démontrer ce fait. Ensuite, monsieur Balbis parle de la passion pour le vol sportif et explique qu’il y a trois manières pour obtenir son brevet de pilote; tout d’abord, pour les jeunes, il y a la possibilité de s’inscrire à l’académie militaire et après des années d’études on peut piloter des avions supersoniques. Une autre possibilité arrive des compagnies aériennes qui transportent des marchandises ou des touristes, qui cherchent toujours des personnes à préparer comme pilotes. Enfin, la dernière chance arrive par les aéro-club locaux au quels on peut s’inscrire et après une visite médicale on peut commencer les cours de pilote.
SOUVENIRS D’UN PILOTE DE MONTAGNE :
Les records d’altitude
Dans cette conte, Cesare Balbis parle de comment est née sa passion pour le vol à voile qui l’à porté ensuite jusqu’en Australie.
Tout d’abord il donne le mérite de l’avoir rapproché à cette discipline à Renato Vitelli qui depuis sa première visite en Vallée d’Aoste il avait organisé des cours de vol à voile au quels monsieur Balbis avait participé. Monsieur Vitelli outre que de l’organisation des cours il pratiquait souvent le vol à voile avec son planeur et chaque fois qu’il voyait des conditions optimales afin d’établir quelques nouveaux records, il partait avec son planeur biplace, le Kangourou et il amenait avec lui la première personne qui lui arrivait de rencontrer.
Plusieurs fois le choix tomba sur Cesare Balbis qui était bien heureux de l’accompagner. Ou bout de quelques temps, cette fièvre pour le vol à voile et les records se fit entendre aussi par monsieur Balbis qui presque toujours regardait le ciel en contrôlant les conditions optimales pour établir un nouveau record.
Un jour, les conditions étaient parfaites mais Balbis devait travailler car il attendait un représentant qui devait lui vendre des produits. En tout cas, il espérait que l’homme ne sois pas en retard et qu’ils se seraient mis d’accord le plus vite possible de manière qu’il aurait pu, une fois terminé le rendez vous, aller de grand marche à l’aéroport de Aoste et vérifier s’il avait vu juste sur les conditions du temps.
Tout se passa comme il fallait car aussi le représentant était pressé et l’auteur pouvait se rendre à son but ou avec grande surprise il rencontra l’homme avec qui il était quelques minutes avant, lui aussi passionné par le vol et il découvrit qui se traitait de Rasero, vétéran de l’aviation et ami de Vitelli.
Dans quelques instants, Balbis était prés à partir et comme la première personne qui arriva de voir c’était le mécanicien Venanzio Grange il l’amena avec lui. Et il réussirent à battre deux records d’altitude sur planeur biplace ; l’un italien( 6.600 m ) e l’autre absolue ( 7.980 m ).
Douze heures sur le Rutor
Cette fois, monsieur Balbis, se trouve a Rome pour parler de le l’approbation de la loi Gex avec les autorités, et c’est alors que le colonel Lucchesi lui dit qu’il aurait eut besoin d’une documentation précise sur la situation du vol de montagne en France. Ce devoir ne représente pas un problème pour Balbis qui part tout de suite vers la France avec le second Venanzio Grange pour se procurer toute la documentation. Au retour du voyage en France, les deux décidèrent de s’arrêter sur le glacier du Rutor pour prendre quelques photos.
Au moment du départ, l’un des skis dont l’avion était équipé, montrait des problèmes irréparables sans les matériels appropriés.
C’est pur ça, que les deux hommes, décident abandonner l’avion et chercher un abri pour se réparer du froid, car ils ne sont pas équipés pou résister au froid, une fois tombée la nuit. Ils arrivent près dune cabane mais ils la trouvent détruite, ils décident alors de risquer en descendant le glacier jusqu’au refuge.
La nuit est déjà tombée, et les deux amis sont encore loin du refuge, quand tout à coup, ils voient une lumière ; ils étaient les secoureurs qui les cherchaient depuis quelques heures. A minuit, les deux, se trouvent au refuge et ils avalent de la soupe chaude.
Aventure dans le Val Formazza
Le nom et les entreprises de Cesare Balbis commencent se faire de la publicité, tant qu’il reçoit nombreuses offres de travail près des agences touristiques. Celle qui est racontée dans cette histoire se déroule dans le Val Formazza.
Monsieur Balbis devait aider un architecte qui est chargé de trouver des zones adaptes au développement touristique dans cette zone ; il part de l’aéroport de Aoste avec le guide alpin Sergio Giometto, le matin du premier avril 1968 pour accomplir sa mission. Après avoir volé toute la matinée, il atterra sur un névé pour le repas. L’après midi, au moment du départ, les conditions du ciel commencent à changer et les deux hommes décident de partir le plus vite possible.
Au moment du décollage, Giometto se trouve derrière l’avion pour le mettre dans la bonne position, mais le moyen de transport, commence à glisser en arrière en s’arrêtant près du précipice.
Pas question de le remettre en marche pour l’instant ; l’équipage décide de descendre vers le fond de la vallée et de remonter le jour suivant avec le nécessaire pour remettre en route le petit avion.
Le premier jour de beau temps, Balbis se rend sur le glacier pour reprendre l’avion et, non sans problèmes, il arrive a décoller et à retourner à Aoste.
Sauvetages sur le Grand Paradis
Quand les hélicoptères étaient seul apanage des militaires, les secours aux blesses en montagne, s’effectuaient avec des petits avions, comme ceux portés par Cesare Balbis.
C’est dans ce période que le pilote, met sa connaissance et son expérience au service du secours en haute montagne.
Il effectue nombreux sauvetages, mais dans ce chapitre il parle de ceux qu’il a effectué sur le massif du grand paradis.
Le premier des deux sauvetages effectués, c’est celui d’une femme française qui en descendant le Grand Paradis avec les skis en compagnie du mari, s’était fracturé une cheville. Même si la position des deux touristes était plutôt difficile à rejoindre, Balbis, grâce à sa connaissance de la zone, il arriva à atterrir presque parfaitement sur le glacier.
Les problèmes arrivaient au moment du décollage, car l’espace était insuffisant et il fallait déplacer en arrière l’avion pour arriver à décoller. A l’aide de l’homme français, il arrivait dans cette manœuvre et le décollage se fit sans problèmes.
Le deuxième sauvetage, se passe sur le Moncorvé et cette fois, avec Balbis il y a aussi un journaliste de la R.A.I qui aura filmer toute la manœuvre. Le infortuné était un alpiniste autrichien tombé dans une crevasse pendant une sortie avec des amis.
Après l’atterrissage, le Pilatus commença à glisser en arrière et se mit de travers. Une foi chargé le blessé, expliqué à ses amis ce qu’il devaient faire pour remettre en place l’avion, et avoir chargé tous à bord, le décollage fut parfait et une autre « mission » fut terminée avec succès.
Le premier altiport italien
C’est en 1967 que le journaliste Giuseppe Lucca publia un article où on disait qu’en occasion de la fête patronale de Chamois, Cesare Balbis, qui ne savait rien du tout, aura accompli un atterrissage dans cette petite commune. Même si surpris, monsieur Balbis accepta de se rendre sur le lieu pour trouver une zone idéale à l’atterrissage d’un petit avion. C’est dans l’après midi, après le repas chez le maire que Balbis trouva le lieu juste pour ce but. Dans peux de temps, grâce à l’aide d’une petite pelle mécanique conduite par monsieur Celestino qui très vite construisit la piste. La visite suivante de Balbis se fit avec l’avion avec grande merveille de toute la communauté de Chamois et comme écrit dans l’article de Lucca, le jour de la fête patronale du village, il y eut un atterrissage dans ce petit altiport qui fut inauguré le 10 septembre du même an…le premier en Italie.
Alarme aérienne en Vallée d’Aoste
C’est quand le président de la république Saragat décida de passer ses vacances à Antagnod, que Balbis et ces amis eurent l’idée d’organiser quelque chose de particulier pour lui faire une surprise.
Ecartée l’idée de lancer des prospectus blancs, rouges et verts qui auraient souillé les prés, on décida de lui jeter un bouquet de fleurs de l’avion. Le seul problème était constitué par l’atterrissage du cadeau qui aurait pu se détruire ou bien faire du mal à quelqu’un. La solution fut portée par le Luigi Telmon qui proposa l’utilisation d’un parachute pour lancer le bouquet.
On avait organisé tout dans les détails et Balbis s’était entraîné pour lancer le cadeau avec la précision plus totale.
Le jour de l’opération, le ciel était limpide et Balbis partait pour rejoindre son but. Le tir ce fut parfait mais provoqua non peux d’agitation dans les policiers et les gardes du président qui exprima quand même son remerciement aux acteurs de ce geste un peux particulier.
Prises de vue pour la télévision
Pendant sa carrière de pilote de montagne, Cesare Balbis effectua aussi des travaux pour la télévision. En particulier, dans ce chapitre on parle de sa collaboration avec le reporter Eddy Tillod.
Au commencement de cette collaboration, sur les Alpes il y avait deux équipes qui s’occupaient de faire des reprises de ce genre. Entre les deux, seulement une avait le droit de faire passer les noms du staff pendant le service à l télé, et ce n’était pas celle composée par Eddy Tillod et Cesare Balbis.
C’est ainsi que les gens commencent à croire que les reprises sont seulement d’une équipe.
Un jour Eddy arriva tout souriant de la siège de la R.A.I ou il avait porté ses registrations, et le chef lui avait dit que s’il aurait porté d’autres films pareil, il aurait put voir son nom passer pendant le service à la télé.
AUSTRALIA – Le centre de Tocumval
Evidemment l’idée du vol à voile, n’avait pas été abandonnée par monsieur Balbis, qui cette fois décide de se rendre en Australie pour tenter des records que le territoire italien plein de reliefs ne permettait pas d’approcher.
Dans cette histoire il raconte de comment en Australie, le vol à voile est pratiqué par nombreux de passionnés qui utilisent le planeur habituellement pour se déplacer d’un lieu à l’autre grâce aux nombreuses structures dédiées à ce sport.
En utilisant le ASH 25, l’un des meilleurs planeurs construits jusqu’alors, Balbis il réussit à établir plusieurs records, entre lesquels on trouve ce des 500 km allée et retour avec un seul pilote et puis avec deux, ce des 300 km allée et retour, le triangle des 500 km,

Atterrissages sur les glaciers sous le soleil de minuit
C’est près de l’auberge « chez Pierina « de Chamois qui naquit l’idée de rejoindre le pole nord avec des petits avions.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il y avait deux avions et quatre courageux dont aussi Balbis faisait partie, prêts à partir de l’aéroport d’Aoste pour ce long et très beau voyage.
Sur l’un des deux avions, le I-FOSS il y avait Aline Robard, instructeur de vol avec 3.500 heures de vol, et Franco Actis, 1.500 heures de vol ; sur le deuxième il y avait Cesare Balbis, instructeur de vol en planeur et d’atterrissage en montagne avec 4.200 heures de vol, et Piero Cullati, alpiniste expert avec le brevet de pilote et 1.800 heures de vol aux épaules.
Le voyage fut beaucoup plus long du prévu, à cause d’une rencontre non programmée avec la police et du mauvais temps qui bloqua le groupe plusieurs jours.
En tout cas, aussi cette foi, monsieur Balbis et ses amis on rejoint leur but et accompli leur « mission »
Á l’époque où en Italie l’atterrissage en montagne était prohibé :
Histoire d’une réglementation
Si aujourd'hui on peut atterrir et décoller dans plusieurs endroits retenus idoines à ce genre de manœuvre, c’est surtout grâce au travail de Corrado Gex.
Cet homme qui a été si important pour la libéralisation des zones d’atterrissage en haute montagne est né à Arvier le 12 avril 1932 et il a pris son diplôme de jurisprudence. A l’age de vingt-sept ans, il devient assesseur à l’instruction et en 1960 il passe son brevet de pilote.
Il est élu député à Rome ou il commence sa bataille pour libéraliser le vol de montagne.
Il fait une proposition de loi qui malheureusement ne voit jamais en fonction, car il meurt très jeune dans un accident avec l’avion.
Après sa mort, la loi fut approuvé le 2 avril 1968 mais elle est publiée est entre en vigueur seulement trois années plus tard, le 27 décembre 1971, après des nombreuses « batailles».
LES GLACIERS- Aéroports naturels de montagne
Dès une certaine altitude, c’est impossible de trouver un lieu ou est possible atterrir aussi seulement avec un petit Piper., c’est pour cette raison que les glacier représentent la seule chance d’accomplir ce genre d’exploit.
Non tous les glaciers sont appropriés pour un atterrissage, et même dans un glacier favorable, non tous les endroits permettent d’atterrir.
Tout d’abord, on doit trouver une zone sans des crevasses et avec une pente non excessive, et enfin on doit éviter des atterrissages dans des zones ombreuses ou la visibilité est réduite.
.

Esempio