Le médecin malgré lui, Molière

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Categoria:Francese
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Testo

« Le médecin malgré lui », Molière.

Cette oeuvre théatrale a été représentée pour la première fois à Paris, au Palais-Royal, le 6 août 1666, par la Troupe du Roi. Cette comèdie peut etre considerée une petite pièce bien amusant, avec un succès assuré.
Pour cette pièce, Molière réprend une des histoires typiques du fabliau du Vilain mire, soit la figure d’une femme qui, pour se vainger de son mari qui la bat, assure qu’il est un merveilleux médecin. A cette source-ci, Molière ajoute la feinte de la maladie.
Cette pièce commence avec la scène dans laquelle Sganarelle, le personnage principal, bat sa femme puisque il est ivre. Martine, la femme en question, décide de se venger des offenses subies donc elle fait croire à deux domestiques qui cerchent un médecin pour guérir leur maitresse que son mari est un médecin merveilleux et capable de reussir en ce que les autres ont échoné. Mais le seul incovénient est que pour lui faire confesser d’etre un médecin ils doivent le battre plusieurs fois jusqu’au point qu’il confirme sa profession. Donc les deux domestiques, Lucas et Valère, vont chez Sganarelle, le battent et lui offrent de l’ argent pour accepter le travail ; après l’avoir coinvancu, ils partent vers la maison de leur maitre. Là-bas, Géronte, le père de la malade Lucinde, fait la conaissance du médecin et le conduit chez sa fille. Donc Sganarelle visite la malade et lui ordonne du pain trempé dans du vin pour surmonter son mutisme. Après la visite, le médecin connait Monsieur Léandre, amoureux de Lucinde, qui l’explique la vraie et seule cause de la maladie de Lucinde, soit le fait de annuler le mariage avec Horace, un noble jeune homme qu’elle n’aime pas. Donc le drole médecin decide d’aider les deux amoureux et conduit Léandre chez Géronte ; là, avec une série de stratagèmes Lucinde et Léandre echappent et pour celà Sganarelle est condamné à etre pendu. Mais à la fin, les deux amoureux reviennent chez Géronte et ici Monsieur Léandre, qui est devenu l’héritier de son riche oncle qui est mort, lui demande la main de Lucinde : le père accepte et toute l’histoire finit bien.
Le trait le plus percoeptible est la satire de la médicine : en effet Sganarelle est presenté avec un reflet grotesque et des traits grossis, délibérement evidenciés pour souligner la volonté de Molière de se moquer de la classe médicale. Son portrait est caracterisé par une évidente caricature, avec son drole de chapeau « des plus pointus »et sa longue robe. Pour se montrer un vrai médecin il mele des termes du language médical de l’époque (comme les « humeurs peccantes ») à des mots latins, grecs ou hébreux, puis encore à des tautologies en créeant à des argumentations médicales. Donc on peut admettre que le personnage de Sganarelle interprète bien son role de médecin, en se moquant des tous les autres personnages. Avec lle personnage de Sganarelle, Molière cherche à mettre en evidence l’immoralité des médecins de l’époque qui mérisaient la vie de leurs malades et qui se focalisaient sur le premier aspect des leurs cures. Dans la pièce on retrouve ici qu’ un personnage arrivant d’une modeste situation sociale, avec beaucoup des défauts (il est un joueur, buveur et violent avec sa femme) réussit à se moquer des gens nobles, comme Géronte.
Si on prend en consideration le personnage de Géronte, on peut voir que déjà à partir du nom on peut focaliser ses traits principaux : en effet « géron » en grec signifie « vieillard » ; donc la figure de Géronte est celle d’un père de famille, assez agé et loin des préoccupations de la jeunesse. Son but principal est celui de faire marier sa fille avec un jeune noble, Horace en ne prenant pas en consideration le sentiments de son enfant : en effet pour lui le mariage doit etre seulment un contrat financier ; il est un des personnages principaux de l’histoire, meme s’il est toujours ridiculisé et s’il n’est pas particulierment instrui (en effet il ne connait as le latin).
Dans cette pièce les procédés comiques sont nombreux : un typique exemple on le remarque, pendant le premier dialogue entre Sganarelle et sa femme, elle lui dit « j’ai quatre pauvres petits enfants sur les bras » et il répond « mets-les à terre ».
Un role important dans l’histoire est celui de Léandre, un jeune homme séduisant et sympathique ; malgré les difficultés qu’il encontre pour reussir à épouser Lucinde, il continue à essayer de trouver des solutions à ses problemes et il ne se laisse décourager par rien.
Le procédé rethorique le plus utilisé par Moliére dans cette oeuvre est le quiproquo, c’est à dire qu’on prend un chose ou une personne pour une autre. Quand l’auteur propose un quiproquo chaque personnage est enfermé dans sa logique et la situation devient absurde, donc le quiproquo ne se dénoue pas.

« Le médecin malgré lui », Molière.

Cette oeuvre théatrale a été représentée pour la première fois à Paris, au Palais-Royal, le 6 août 1666, par la Troupe du Roi. Cette comèdie peut etre considerée une petite pièce bien amusant, avec un succès assuré.
Pour cette pièce, Molière réprend une des histoires typiques du fabliau du Vilain mire, soit la figure d’une femme qui, pour se vainger de son mari qui la bat, assure qu’il est un merveilleux médecin. A cette source-ci, Molière ajoute la feinte de la maladie.
Cette pièce commence avec la scène dans laquelle Sganarelle, le personnage principal, bat sa femme puisque il est ivre. Martine, la femme en question, décide de se venger des offenses subies donc elle fait croire à deux domestiques qui cerchent un médecin pour guérir leur maitresse que son mari est un médecin merveilleux et capable de reussir en ce que les autres ont échoné. Mais le seul incovénient est que pour lui faire confesser d’etre un médecin ils doivent le battre plusieurs fois jusqu’au point qu’il confirme sa profession. Donc les deux domestiques, Lucas et Valère, vont chez Sganarelle, le battent et lui offrent de l’ argent pour accepter le travail ; après l’avoir coinvancu, ils partent vers la maison de leur maitre. Là-bas, Géronte, le père de la malade Lucinde, fait la conaissance du médecin et le conduit chez sa fille. Donc Sganarelle visite la malade et lui ordonne du pain trempé dans du vin pour surmonter son mutisme. Après la visite, le médecin connait Monsieur Léandre, amoureux de Lucinde, qui l’explique la vraie et seule cause de la maladie de Lucinde, soit le fait de annuler le mariage avec Horace, un noble jeune homme qu’elle n’aime pas. Donc le drole médecin decide d’aider les deux amoureux et conduit Léandre chez Géronte ; là, avec une série de stratagèmes Lucinde et Léandre echappent et pour celà Sganarelle est condamné à etre pendu. Mais à la fin, les deux amoureux reviennent chez Géronte et ici Monsieur Léandre, qui est devenu l’héritier de son riche oncle qui est mort, lui demande la main de Lucinde : le père accepte et toute l’histoire finit bien.
Le trait le plus percoeptible est la satire de la médicine : en effet Sganarelle est presenté avec un reflet grotesque et des traits grossis, délibérement evidenciés pour souligner la volonté de Molière de se moquer de la classe médicale. Son portrait est caracterisé par une évidente caricature, avec son drole de chapeau « des plus pointus »et sa longue robe. Pour se montrer un vrai médecin il mele des termes du language médical de l’époque (comme les « humeurs peccantes ») à des mots latins, grecs ou hébreux, puis encore à des tautologies en créeant à des argumentations médicales. Donc on peut admettre que le personnage de Sganarelle interprète bien son role de médecin, en se moquant des tous les autres personnages. Avec lle personnage de Sganarelle, Molière cherche à mettre en evidence l’immoralité des médecins de l’époque qui mérisaient la vie de leurs malades et qui se focalisaient sur le premier aspect des leurs cures. Dans la pièce on retrouve ici qu’ un personnage arrivant d’une modeste situation sociale, avec beaucoup des défauts (il est un joueur, buveur et violent avec sa femme) réussit à se moquer des gens nobles, comme Géronte.
Si on prend en consideration le personnage de Géronte, on peut voir que déjà à partir du nom on peut focaliser ses traits principaux : en effet « géron » en grec signifie « vieillard » ; donc la figure de Géronte est celle d’un père de famille, assez agé et loin des préoccupations de la jeunesse. Son but principal est celui de faire marier sa fille avec un jeune noble, Horace en ne prenant pas en consideration le sentiments de son enfant : en effet pour lui le mariage doit etre seulment un contrat financier ; il est un des personnages principaux de l’histoire, meme s’il est toujours ridiculisé et s’il n’est pas particulierment instrui (en effet il ne connait as le latin).
Dans cette pièce les procédés comiques sont nombreux : un typique exemple on le remarque, pendant le premier dialogue entre Sganarelle et sa femme, elle lui dit « j’ai quatre pauvres petits enfants sur les bras » et il répond « mets-les à terre ».
Un role important dans l’histoire est celui de Léandre, un jeune homme séduisant et sympathique ; malgré les difficultés qu’il encontre pour reussir à épouser Lucinde, il continue à essayer de trouver des solutions à ses problemes et il ne se laisse décourager par rien.
Le procédé rethorique le plus utilisé par Moliére dans cette oeuvre est le quiproquo, c’est à dire qu’on prend un chose ou une personne pour une autre. Quand l’auteur propose un quiproquo chaque personnage est enfermé dans sa logique et la situation devient absurde, donc le quiproquo ne se dénoue pas.

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