André Gide

Materie:Appunti
Categoria:Francese

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Testo

ANDRÉ GIDE (1869-1951)

Il est un des plus grands auteurs et penseurs du XXe siècle.
Il a été homosexuel.
Ses attitudes : le courage et la sincérité cohérente.
Ses ouvres sont marquées par sa révolte profonde contre la morale puritaine et par l’affirmation provocatrice de la liberté individuelle, ce qui le conduit à s’engager politiquement en faveur du décolonialisme.
Il dit: « mon livre t’enseigne à t’intéresser plus à toi qu’à lui-même (dieu), plus à tout le reste qu’à toi ».

A partir de 1925 il s’engage politiquement et il dénonce la société.
Il décide d’abandonner son style de vie bourgeoise acceptant de partir en Afrique Noire pour mener un enquête pour le gouvernement sur les grandes exploitation forestières.
Il dénonce aussi le colonialisme, suscitant l’indignation de la Compagnie forestière et de tous ceux qui défendaient les intérêts économiques dans les colonies d’Afrique.
La critique au système colonial européen corresponde à son besoin de vérité et de justice.

Son besoin d’un engagement dans le débat politique le conduit vers le communisme. Ce n’est pas une conversion idéologique aux dogmes du marxisme et du Capital, mais l’héritage de son éducation religieuse et de ses aspirations humanistes.
Il devient une sorte de port-drapeau du communisme international.
Il participe au Comité de vigilance des intellectuelles antifascistes.
En 1936 il retourne en URSS et il est accueilli comme un héros de la culture de gauche.

Il éprouve la nécessité de refuser tout mensonge, tout change idéologique et toute complicité du silence.
Il critique la dégénération du régime stalinien, provoquant une réaction de la part de ses anciens camarades.
Le ‘Retour de l’URSS’ 1936, exprime sa déception (delusione) envers le pays de la nouvelle révolution, il accuse Staline d’étouffer (soffocare) la liberté et de soumettre ses compatriotes à la misère et à un nouvel escavage.

LE FAUX PARADIS DES SOVIETS

Gide a préféré le risque de la vérité à celui du mensonge et de l’hypocrisie. Il dénonce officiellement le stalinisme. Il s’est engagé dans la voie de la transparence, dans le but de contribuer au rétablissement d’un changement plus humain et juste.

Dans cet pièce est possible comprendre l’état d’âme de Gide : il est déçu parce qu’il a compris que le communisme cache les mensonges. L’URSS veut donner un image de pays riche et donc il cache la misère, mais ce sont régions entières où la misère saute aux yeux !!
L’opposition en URSS est la libre critique, la liberté de pensée.
Staline ne supporte que l’approbation et supprime l’opposition (elle n’existe plus). C’est là le propre du despotisme : s’entourer non de valeurs mais de serviabilités.
Les opposants sont envoyés en Sibérie.
Le rôle de Gide et donc de dénoncer les mensonges. Il s’attache à la vérité et si le Parti la quitte, il quitte le Parti du même coup.
Au point de vu marxiste la vérité n’existe pas, il n’y à de vérité que relative.
L’URSS a trahi leurs espoirs.

Gide a renoncé à ses terres mais il n’a pas renoncé de dénoncer tous ce qui va contre ses idéals !

PUORQUOI ÉCRIRE ? (Paludes 1895)

Dans cet roman de jeunesse c’est un jeune écrivain qui fréquente les salons, et qui tente d’écrire un roman intitulé Paludes, mais il ne parvient à rien.
Il est l’écrivain de ‘roman dans le roman’
Avec la technique appelé construction en abysme il réfléchi sur le processus de la création et de la communication littéraire.
Dans cet extrait le narrateur rencontre son amie Angèle qui l’interroge sur le roman qu’il est en train d’écrire.
Ils sont dans un salon, chez Angèle.
Paludes est un histoire d’un célibataire, Tityre, qui habite dans un tour entourée de marais (paludi).
Pourquoi il a décidé d’écrire ? Pour agir !
Ce qui fait le sujet d’un livre ? L’émotion que me donna la vie, c’est celle-là que je veux dire : ennui (noia), vanité, monotonie.

LES FAUX-MONNAYEURS (1926)

Il utilise une langue qui s’inspire aux models classiques, une langue élégante.
C’est le roman de bien de canevas possibles, plus qu’un véritable roman. Il contient plusieurs intrigues.
Il s’agit d’un :
• Roman d’apprentissage et d’initiation à la vie = Bernard Profitendieu, le jeune héros, se découvre lui-même à travers ses expériences douloureuses ;
• Roman d’aventures sentimentales = il y a plusieurs intrigues amoureuses, des amours contrariées qui dépendent les unes des autres ;
• Roman policier et roman noir = il y a des énigmes dont on découvrira à la fin la solution, le romancier exerce une certaine cruauté qui permet exécution de la victime et l’impunité des bourreaux (carnefici).
C’est le roman dans le roman par excellence.
Il faisait allusion à une technique de peinture, où on représente par réflexion la scène du tableau en plus petit.

Edouard, le romancier du livre, projette une œuvre sans sujet, qui a le même titre que celui du roman. Il se propose de présenter d’une part la réalité, d’autre part il cherche de la styliser.
Le sujet n’est que la lutte entre ce que lui offre la réalité et ce que lui prétend en faire. Il n’écrira jamais ce livre.
Gide présente une réalité foisonnante (affascinante) dont le principaux héros sont des adolescents ou des jeunes qui vivent les peines de l’amour, les tentations de la rébellion contre les familles, et de l’immoralisme, les incertitudes du destin.
Un des thèmes du roman est l’inquiétude de l’apprentissage à la vie.
Une bande de faux-monnayeurs se sert des écoliers de la pension Vedel-Azaïs pour mener à bout ses affaires louches.
Il est le roman de l’hypocrisie du monde adulte, les grandes personnes sont les vrais faussaires face au monde de la jeunesse.
Gide exprime ce qu’il pense exactement sur le genre : le roman est nécessairement voue à l’échec (votato all’insuccesso), puisqu’il prétend, en vain, de restituer la complète vérité de la vie, ce qui est vraiment intéressant est la technique !
Est un livre inclassable, il est difficile de résumer les intrigues.

Ce roman correspond bien à l’idée de roman pure que Gide se proposé d’écrire à une époque où l’on parlé de poésie pure.
Gide présente l’originalité d’écrire un roman dans lequel il débat du roman assurant à son œuvre un fondement esthétique.
Les faux-monnayeurs est :
• Un roman gidien car, même Gide affirme qu’il s’agit d’un « roman gratuit » qui ne veut rien enseigner, on y retrouve l’idéal de l’auteur : les faux-monnayeurs sont aussi les « faussaires de l’âme », tous les êtres qui vivent « sous une épaisseur de mensonge », les fausses valeurs que la société impose à l’individu : le mariage, la famille, tout ce qui se fonde sur l’hypocrisie et le refus de la réalité.
• Ce n’est pas un roman réaliste parce que Gide a écrit un roman réduit à sa pure essence. Il ne l’a pas coupé complètement de la vie réelle, il n’indique que le significatif, le décisif, l’indispensable et donc il a supprimé au maximum les traits physiques, les paysages et toute approximation de l’image concrète du monde. L’univers romanesque est un lieu de caractère, les sentiments et les idées sont le vrai sujet du roman. Il renonce à toute chronologie linéaire, il choisit la simultanéité de gestes et de pensées, appartenant à des êtres éloignés. L’histoire ne finit pas vraiment, rien n’est définitivement accompli à la fin du roman.

Il n’y a pas de héros privilégiés.
Les jeunes gens qu’il met en scène sont des révoltés anticonformistes.
Bernard exprime l’idéal moral de Gide : il ne cherche jamais à paraître autrement qu’il n’est.
La véritable sagesse est celle qui se fonde sur les vertus du cœur et de l’âme.
La nouveauté de ce roman, défini par Gide un anti-roman est la technique narrative. Il recours à la mise en abîme (l’œuvre se reflète dans une partie de l’œuvre).
Il s’oppose à la tradition romanesque du XIX siècle, celle du narrateur omniscient.
Il veut faire une œuvre totale, le roman pure, qui traduise la vie, toute la vie.
Il multiplie les points de vue.
Il ne suive pas un ordre chronologique, il oblige le lecteur à des retours en arrière.
Ce roman est sans une véritable conclusion, la signification doit rester ouverte, afin que le lecteur participe activement à l’élaboration du sens.

LE RÔLE DU ROMANCIER
Gide classe sa production narrative en trois genres :
• Les sorties = tiennent le nom d’un genre dramatique du moyen age, qui, à l’origine, était représenté le jour de la fête des sots (sciocchi). Il s’agit d’un récit désinvolte, bouffon et satirique. Il représente, sous forme symbolique, les thèmes de sa méditation sur l’homme et sur la vie. (Paludes-1895-) ;
• Les récits = des œuvres narratives brèves qui racontent le drame sentimental et moral. L’analyse intérieure qui vise à la conquête de soi se fait par le monologue, les lettres, ou le journal ;
• Le roman = (les faux-monnayeurs-1926-) marque l’évolution du genre. Il condamne le roman réaliste et traditionnelle qui ne fait que s’attacher à l’insignifiant. Il s’interroge pour savoir si le roman doit copier le réel ou non, et comme il (Gide) voudrait écrire un « roman pur ».

ANDRÉ GIDE (1869-1951)

Il est un des plus grands auteurs et penseurs du XXe siècle.
Il a été homosexuel.
Ses attitudes : le courage et la sincérité cohérente.
Ses ouvres sont marquées par sa révolte profonde contre la morale puritaine et par l’affirmation provocatrice de la liberté individuelle, ce qui le conduit à s’engager politiquement en faveur du décolonialisme.
Il dit: « mon livre t’enseigne à t’intéresser plus à toi qu’à lui-même (dieu), plus à tout le reste qu’à toi ».

A partir de 1925 il s’engage politiquement et il dénonce la société.
Il décide d’abandonner son style de vie bourgeoise acceptant de partir en Afrique Noire pour mener un enquête pour le gouvernement sur les grandes exploitation forestières.
Il dénonce aussi le colonialisme, suscitant l’indignation de la Compagnie forestière et de tous ceux qui défendaient les intérêts économiques dans les colonies d’Afrique.
La critique au système colonial européen corresponde à son besoin de vérité et de justice.

Son besoin d’un engagement dans le débat politique le conduit vers le communisme. Ce n’est pas une conversion idéologique aux dogmes du marxisme et du Capital, mais l’héritage de son éducation religieuse et de ses aspirations humanistes.
Il devient une sorte de port-drapeau du communisme international.
Il participe au Comité de vigilance des intellectuelles antifascistes.
En 1936 il retourne en URSS et il est accueilli comme un héros de la culture de gauche.

Il éprouve la nécessité de refuser tout mensonge, tout change idéologique et toute complicité du silence.
Il critique la dégénération du régime stalinien, provoquant une réaction de la part de ses anciens camarades.
Le ‘Retour de l’URSS’ 1936, exprime sa déception (delusione) envers le pays de la nouvelle révolution, il accuse Staline d’étouffer (soffocare) la liberté et de soumettre ses compatriotes à la misère et à un nouvel escavage.

LE FAUX PARADIS DES SOVIETS

Gide a préféré le risque de la vérité à celui du mensonge et de l’hypocrisie. Il dénonce officiellement le stalinisme. Il s’est engagé dans la voie de la transparence, dans le but de contribuer au rétablissement d’un changement plus humain et juste.

Dans cet pièce est possible comprendre l’état d’âme de Gide : il est déçu parce qu’il a compris que le communisme cache les mensonges. L’URSS veut donner un image de pays riche et donc il cache la misère, mais ce sont régions entières où la misère saute aux yeux !!
L’opposition en URSS est la libre critique, la liberté de pensée.
Staline ne supporte que l’approbation et supprime l’opposition (elle n’existe plus). C’est là le propre du despotisme : s’entourer non de valeurs mais de serviabilités.
Les opposants sont envoyés en Sibérie.
Le rôle de Gide et donc de dénoncer les mensonges. Il s’attache à la vérité et si le Parti la quitte, il quitte le Parti du même coup.
Au point de vu marxiste la vérité n’existe pas, il n’y à de vérité que relative.
L’URSS a trahi leurs espoirs.

Gide a renoncé à ses terres mais il n’a pas renoncé de dénoncer tous ce qui va contre ses idéals !

PUORQUOI ÉCRIRE ? (Paludes 1895)

Dans cet roman de jeunesse c’est un jeune écrivain qui fréquente les salons, et qui tente d’écrire un roman intitulé Paludes, mais il ne parvient à rien.
Il est l’écrivain de ‘roman dans le roman’
Avec la technique appelé construction en abysme il réfléchi sur le processus de la création et de la communication littéraire.
Dans cet extrait le narrateur rencontre son amie Angèle qui l’interroge sur le roman qu’il est en train d’écrire.
Ils sont dans un salon, chez Angèle.
Paludes est un histoire d’un célibataire, Tityre, qui habite dans un tour entourée de marais (paludi).
Pourquoi il a décidé d’écrire ? Pour agir !
Ce qui fait le sujet d’un livre ? L’émotion que me donna la vie, c’est celle-là que je veux dire : ennui (noia), vanité, monotonie.

LES FAUX-MONNAYEURS (1926)

Il utilise une langue qui s’inspire aux models classiques, une langue élégante.
C’est le roman de bien de canevas possibles, plus qu’un véritable roman. Il contient plusieurs intrigues.
Il s’agit d’un :
• Roman d’apprentissage et d’initiation à la vie = Bernard Profitendieu, le jeune héros, se découvre lui-même à travers ses expériences douloureuses ;
• Roman d’aventures sentimentales = il y a plusieurs intrigues amoureuses, des amours contrariées qui dépendent les unes des autres ;
• Roman policier et roman noir = il y a des énigmes dont on découvrira à la fin la solution, le romancier exerce une certaine cruauté qui permet exécution de la victime et l’impunité des bourreaux (carnefici).
C’est le roman dans le roman par excellence.
Il faisait allusion à une technique de peinture, où on représente par réflexion la scène du tableau en plus petit.

Edouard, le romancier du livre, projette une œuvre sans sujet, qui a le même titre que celui du roman. Il se propose de présenter d’une part la réalité, d’autre part il cherche de la styliser.
Le sujet n’est que la lutte entre ce que lui offre la réalité et ce que lui prétend en faire. Il n’écrira jamais ce livre.
Gide présente une réalité foisonnante (affascinante) dont le principaux héros sont des adolescents ou des jeunes qui vivent les peines de l’amour, les tentations de la rébellion contre les familles, et de l’immoralisme, les incertitudes du destin.
Un des thèmes du roman est l’inquiétude de l’apprentissage à la vie.
Une bande de faux-monnayeurs se sert des écoliers de la pension Vedel-Azaïs pour mener à bout ses affaires louches.
Il est le roman de l’hypocrisie du monde adulte, les grandes personnes sont les vrais faussaires face au monde de la jeunesse.
Gide exprime ce qu’il pense exactement sur le genre : le roman est nécessairement voue à l’échec (votato all’insuccesso), puisqu’il prétend, en vain, de restituer la complète vérité de la vie, ce qui est vraiment intéressant est la technique !
Est un livre inclassable, il est difficile de résumer les intrigues.

Ce roman correspond bien à l’idée de roman pure que Gide se proposé d’écrire à une époque où l’on parlé de poésie pure.
Gide présente l’originalité d’écrire un roman dans lequel il débat du roman assurant à son œuvre un fondement esthétique.
Les faux-monnayeurs est :
• Un roman gidien car, même Gide affirme qu’il s’agit d’un « roman gratuit » qui ne veut rien enseigner, on y retrouve l’idéal de l’auteur : les faux-monnayeurs sont aussi les « faussaires de l’âme », tous les êtres qui vivent « sous une épaisseur de mensonge », les fausses valeurs que la société impose à l’individu : le mariage, la famille, tout ce qui se fonde sur l’hypocrisie et le refus de la réalité.
• Ce n’est pas un roman réaliste parce que Gide a écrit un roman réduit à sa pure essence. Il ne l’a pas coupé complètement de la vie réelle, il n’indique que le significatif, le décisif, l’indispensable et donc il a supprimé au maximum les traits physiques, les paysages et toute approximation de l’image concrète du monde. L’univers romanesque est un lieu de caractère, les sentiments et les idées sont le vrai sujet du roman. Il renonce à toute chronologie linéaire, il choisit la simultanéité de gestes et de pensées, appartenant à des êtres éloignés. L’histoire ne finit pas vraiment, rien n’est définitivement accompli à la fin du roman.

Il n’y a pas de héros privilégiés.
Les jeunes gens qu’il met en scène sont des révoltés anticonformistes.
Bernard exprime l’idéal moral de Gide : il ne cherche jamais à paraître autrement qu’il n’est.
La véritable sagesse est celle qui se fonde sur les vertus du cœur et de l’âme.
La nouveauté de ce roman, défini par Gide un anti-roman est la technique narrative. Il recours à la mise en abîme (l’œuvre se reflète dans une partie de l’œuvre).
Il s’oppose à la tradition romanesque du XIX siècle, celle du narrateur omniscient.
Il veut faire une œuvre totale, le roman pure, qui traduise la vie, toute la vie.
Il multiplie les points de vue.
Il ne suive pas un ordre chronologique, il oblige le lecteur à des retours en arrière.
Ce roman est sans une véritable conclusion, la signification doit rester ouverte, afin que le lecteur participe activement à l’élaboration du sens.

LE RÔLE DU ROMANCIER
Gide classe sa production narrative en trois genres :
• Les sorties = tiennent le nom d’un genre dramatique du moyen age, qui, à l’origine, était représenté le jour de la fête des sots (sciocchi). Il s’agit d’un récit désinvolte, bouffon et satirique. Il représente, sous forme symbolique, les thèmes de sa méditation sur l’homme et sur la vie. (Paludes-1895-) ;
• Les récits = des œuvres narratives brèves qui racontent le drame sentimental et moral. L’analyse intérieure qui vise à la conquête de soi se fait par le monologue, les lettres, ou le journal ;
• Le roman = (les faux-monnayeurs-1926-) marque l’évolution du genre. Il condamne le roman réaliste et traditionnelle qui ne fait que s’attacher à l’insignifiant. Il s’interroge pour savoir si le roman doit copier le réel ou non, et comme il (Gide) voudrait écrire un « roman pur ».

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