Hugo: Les Miserables (ult. parte) in francese

Materie:Riassunto
Categoria:Francese
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Data:22.11.2005
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Testo

Marius laisse la masure Gorbeau pour ne vivre plus à côté de Thénardier, car il avait horreur de cet homme ; il se transfère chez son ami Courfeyrac. Il se pose beaucoup de question sur Monsieur Leblanc et sur sa jeune fille ; il se renferme en soi-même et il rencontre seulement, quelque fois, son ami âgé Monsieur Mabeuf, passionné de livres et des plantes.
Un jour une jeune fille aide Mabeuf décrocher le seau, qu’il lui fallait pour arroser son rhododendron ; pour rendre la faveur, elle lui demande l’adresse de Marius, ainsi il lui indique le champ de l’Alouette, où le jeune inquiète errait souvent. Cette fille était Éponine, qui, réussie ò rencontrer Marius, elle lui donne l’adresse de Cosette ; il voudrais elle récompenser avec de l’argent, mais elle refuse, en se contenter de son sourire.
Jean Valjean avait acheté une belle maison avec un jardin, pour y habiter avec Cosette et une vieille servante bègue. Il était heureux et les deux femmes lui adoraient. Cosette était, entretemps, devenue belle et coquette ; souvent elle promenait au Luxembourg avec Jean Valjean.
Un soir Cosette est seule sur un banc dans son jardin et, en se retourner, elle voit soudain Marius ; depuis ce moment les deux commencent se rencontrer. Un jour, toutefois, elle lui dit qu’elle doit partir avec son père ; elle voudrait que lui parte aussi, mais il n’a pas d’argent.
Ainsi Marius va chez Gillenormand, qui depuis 4 ans attend de lui revoir e d’entendre ses pardons ; mais désormais il était en train de s’habituer à l’idée de mourir sans le revoir. Au moment de la rencontre, toutefois, Gillenormand devient brusque, et il nie brutalement la requête du petit-fils de pouvoir se marier. Ainsi Marius s’en va froidement et l’homme, regretté, il le lui appelle de la fenêtre, quand désormais c’est trop tard.
À cause des problèmes politiques qui agitaient Paris, Jean Valjean décide de partir ; la nuit suivante Marius se glisse dans le jardin de Cosette, comme d’habitude, mais cette fois il n’y a-t-elle.
Au printemps du 1832 à Paris, les républicains couvent leur colère contre la Monarchie de juillet. La révolution éclate quand le Général Lamarque meurt, il était un maréchal de Napoléon très aimé par le peuple. Les bourgeois épouvantés s’enfuissent, pendant que dans toutes les rues les rebelles construisent des barricades et ils s’arment beaucoup ; parmi eux s’ajoute aussi Gavroche, dernier fils, refusé par la famille Thénardier. Dans un café les rebelles trouvent un espion parmi eux : c’est Javert.
Entretemps Marius, désespéré, après le refuse de Gillenormand, qui ne veut pas le lui concéder le mariage, se jète dans la révolte ; quand un coup blesse un garçon à mort, il s’approche de lui, pour l’aider. Ce jeune, en vérité, est Éponine, qui avant mourir lui donne une lettre de Cosette, dans laquelle il y a sa nouvelle adresse.
Marius écrit à Cosette une lettre où il parle du refus de son père, du leur mariage impossible et de la volonté de mourir en combat ; il remit à Gavroche la tâche de elle la remettre, si même pour lui l’éloigner e l’épargner la mort. Entretemps Jean Valjean trouve un papier, dans lequel Cosette leur nouvelle adresse et qu’il vont aller à Londres ; en ce moment, il éprouve de l’haine pour l’homme qui aime sa fille.
L’équipe de révolutionnaires décide de ne pas sacrifier tropes vies, ainsi ils renvoient les hommes mariés et le soutiens de famille ; pour pouvoir s’en aller inobservés, ils leur donnent des uniformes des gardes nationaux. Soudain survient Monsieur Leblanc qui mit à disposition aussi son uniforme.
Pendant les combats Gavroche est tué et Marius gravement blessé. Jean Valjean charge Marius sur ses épaules, il descend dans une espèce de puits pour finir dans les égouts. La sortie est fermée d’une grille, qui est custodie par Thénardier, qui s’offre de l’ouvrir in échange de la moitié du contenu de les poches de Marius. Sorti de les égouts, il dépose le jeune sur la berge de la Seine, l’air fraîche et quelques gouttes d’eau le font réveiller ; en ce moment Javert reconnaît Jean Valjean, mais il lui fait grâce, car il lui avait épargné la mort.
Quatre mois plus tard Marius è hors de danger et Monsieur Gillenormand lui permit de se marier. Depuis ce moment Jean Valjean cesse de voir Cosette et donc il cesse d’exister.
Jean Valjean tombe malade e meurt ; sa pierre tombale au cimetière Père-Lachaise dit : >.

Marius laisse la masure Gorbeau pour ne vivre plus à côté de Thénardier, car il avait horreur de cet homme ; il se transfère chez son ami Courfeyrac. Il se pose beaucoup de question sur Monsieur Leblanc et sur sa jeune fille ; il se renferme en soi-même et il rencontre seulement, quelque fois, son ami âgé Monsieur Mabeuf, passionné de livres et des plantes.
Un jour une jeune fille aide Mabeuf décrocher le seau, qu’il lui fallait pour arroser son rhododendron ; pour rendre la faveur, elle lui demande l’adresse de Marius, ainsi il lui indique le champ de l’Alouette, où le jeune inquiète errait souvent. Cette fille était Éponine, qui, réussie ò rencontrer Marius, elle lui donne l’adresse de Cosette ; il voudrais elle récompenser avec de l’argent, mais elle refuse, en se contenter de son sourire.
Jean Valjean avait acheté une belle maison avec un jardin, pour y habiter avec Cosette et une vieille servante bègue. Il était heureux et les deux femmes lui adoraient. Cosette était, entretemps, devenue belle et coquette ; souvent elle promenait au Luxembourg avec Jean Valjean.
Un soir Cosette est seule sur un banc dans son jardin et, en se retourner, elle voit soudain Marius ; depuis ce moment les deux commencent se rencontrer. Un jour, toutefois, elle lui dit qu’elle doit partir avec son père ; elle voudrait que lui parte aussi, mais il n’a pas d’argent.
Ainsi Marius va chez Gillenormand, qui depuis 4 ans attend de lui revoir e d’entendre ses pardons ; mais désormais il était en train de s’habituer à l’idée de mourir sans le revoir. Au moment de la rencontre, toutefois, Gillenormand devient brusque, et il nie brutalement la requête du petit-fils de pouvoir se marier. Ainsi Marius s’en va froidement et l’homme, regretté, il le lui appelle de la fenêtre, quand désormais c’est trop tard.
À cause des problèmes politiques qui agitaient Paris, Jean Valjean décide de partir ; la nuit suivante Marius se glisse dans le jardin de Cosette, comme d’habitude, mais cette fois il n’y a-t-elle.
Au printemps du 1832 à Paris, les républicains couvent leur colère contre la Monarchie de juillet. La révolution éclate quand le Général Lamarque meurt, il était un maréchal de Napoléon très aimé par le peuple. Les bourgeois épouvantés s’enfuissent, pendant que dans toutes les rues les rebelles construisent des barricades et ils s’arment beaucoup ; parmi eux s’ajoute aussi Gavroche, dernier fils, refusé par la famille Thénardier. Dans un café les rebelles trouvent un espion parmi eux : c’est Javert.
Entretemps Marius, désespéré, après le refuse de Gillenormand, qui ne veut pas le lui concéder le mariage, se jète dans la révolte ; quand un coup blesse un garçon à mort, il s’approche de lui, pour l’aider. Ce jeune, en vérité, est Éponine, qui avant mourir lui donne une lettre de Cosette, dans laquelle il y a sa nouvelle adresse.
Marius écrit à Cosette une lettre où il parle du refus de son père, du leur mariage impossible et de la volonté de mourir en combat ; il remit à Gavroche la tâche de elle la remettre, si même pour lui l’éloigner e l’épargner la mort. Entretemps Jean Valjean trouve un papier, dans lequel Cosette leur nouvelle adresse et qu’il vont aller à Londres ; en ce moment, il éprouve de l’haine pour l’homme qui aime sa fille.
L’équipe de révolutionnaires décide de ne pas sacrifier tropes vies, ainsi ils renvoient les hommes mariés et le soutiens de famille ; pour pouvoir s’en aller inobservés, ils leur donnent des uniformes des gardes nationaux. Soudain survient Monsieur Leblanc qui mit à disposition aussi son uniforme.
Pendant les combats Gavroche est tué et Marius gravement blessé. Jean Valjean charge Marius sur ses épaules, il descend dans une espèce de puits pour finir dans les égouts. La sortie est fermée d’une grille, qui est custodie par Thénardier, qui s’offre de l’ouvrir in échange de la moitié du contenu de les poches de Marius. Sorti de les égouts, il dépose le jeune sur la berge de la Seine, l’air fraîche et quelques gouttes d’eau le font réveiller ; en ce moment Javert reconnaît Jean Valjean, mais il lui fait grâce, car il lui avait épargné la mort.
Quatre mois plus tard Marius è hors de danger et Monsieur Gillenormand lui permit de se marier. Depuis ce moment Jean Valjean cesse de voir Cosette et donc il cesse d’exister.
Jean Valjean tombe malade e meurt ; sa pierre tombale au cimetière Père-Lachaise dit : >.

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